À l’occasion de la parution toute récente de L’Éducation de Stony Mayhall, son troisième roman mais le premier publié en français, Daryl Gregory a accepté de répondre aux questions de notre ami Laurent Queyssi. L’occasion pour notre auteur de nous évoquer les thématiques à l’œuvre dans son roman, son rapport aux zombies et ses dernières parutions…Ma parution la plus récente est une novella, deux fois moins longue qu’Afterparty. Ça s’appelle We are all completely fine et c’est sorti en août en anglais. C’est plus proche de Stony Mayhall puisque ça parle de culture populaire et d’histoires d’horreur. Je me demande toujours ce qui arrive au dernier personnage encore debout, ceux qui survivent à la fin des films d’horreur. Que deviennent-ils ensuite ? Il doive s’en doute aller voir un psy. (Ma femme est psychologue, nous parlons donc beaucoup de thérapie.) Dans la novella, cinq survivants de cinq histoires d’horreur sont rassemblés pour une thérapie de groupe. Ils comprennent peu à peu que leurs histoires sont liées et qu’ils n’en ont pas fini…
scifictif a écrit :Et alléchant.
A paraître dans la collec' "Une heure-lumière" ?
En fait, il est certain que ce texte ne sera pas dans "Une heure-lumière". Cette collec' est optimisée pour un format compris entre 95 000 et 170 000 signes environ, un peu plus pour les auteurs français (jusqu'à 200 000 signes, disons). Au-delà, on sort du cadre du compte d'exploitation prévisionnel qui nous autorise des prix autour de 10 euros. Le texte de Daryl Gregory est clairement plus long. Et ne fait pas l'objet d'un contrat de type nouvelle ou novella avec l'agent, mais bien roman. Il atterrira dans notre format 13x20, comme Louisiana Breakdown de Shepard.scifictif a écrit :Malin.
Et alléchant.
A paraître dans la collec' "Une heure-lumière" ?
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