La fiche Imdb (qui se résume à presque rien pour le moment).
Sur un scénario original du réalisateur:
Set in a world without anonymity or crime, a detective meets a woman who threatens their security.
Clive Owen vient de rejoindre Amanda Seyfried au générique.
Si c'est aussi brillant que Lord of war ou Bienvenue à Gattaca (Time Out m'avait moins convaincu)...
(Erwann, désolé s'il s'agit d'un doublon, mais concernant le moteur de recherche, je renonce.)
Anon, Andrew Niccol (2017)
Anon, Andrew Niccol (2017)
“Tout notre raisonnement se réduit à céder au sentiment.” B. Pascal.
“The light that burns twice as bright burns half as long, and you have burned so very, very brightly, Roy.” Blade Runner.
“The light that burns twice as bright burns half as long, and you have burned so very, very brightly, Roy.” Blade Runner.
- Thomas Day
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Re: Anon, Andrew Niccol (2017)
Yep ! Good kill était pas mal du tout.
Re: Anon, Andrew Niccol (2017)
Exact, messieurs, excellent film. Un oubli de ma part.
“Tout notre raisonnement se réduit à céder au sentiment.” B. Pascal.
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Re: Anon, Andrew Niccol (2017)
Vu Anon. Sympa, très Rajaniemien, mais ça pète un peu plus haut que son cul, non ?
- Thomas Day
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Re: Anon, Andrew Niccol (2017)
Vu. Bon, c'était moins mauvais que Mute ou Annihilation… mais c'était pas génial non plus.
L'esthétique est assez classe, dans le genre néo-noir. Dans la vraie vie, je reste persuadé que la réalité augmentée, présentée ici sous la forme d'une interface sobre et élégante, serait en fait pourrie de pubs criardes et de pop-ups envahissants, mais bon… Intéressant aussi, le changement de format de l'image entre la basse réalité (un 16/9 qui paraît étriqué) et la réalité augmentée (où tout l'écran est occupé).
Pour le reste, l'intrigue fait mine de tenir la route… mais s'avère remplie de trucs pas logiques qu'aucun flic sensé ne ferait, jusqu'à une conclusion foireuse. Bien qu'assez bref (1h40), le film paraît flottant dans son rythme, comme sous anesthésie. C'est gris béton et éthéré à la fois, et rien ne m'a touché (à part l'esthétique, rapidement).
Une petite déception.
L'esthétique est assez classe, dans le genre néo-noir. Dans la vraie vie, je reste persuadé que la réalité augmentée, présentée ici sous la forme d'une interface sobre et élégante, serait en fait pourrie de pubs criardes et de pop-ups envahissants, mais bon… Intéressant aussi, le changement de format de l'image entre la basse réalité (un 16/9 qui paraît étriqué) et la réalité augmentée (où tout l'écran est occupé).
Pour le reste, l'intrigue fait mine de tenir la route… mais s'avère remplie de trucs pas logiques qu'aucun flic sensé ne ferait, jusqu'à une conclusion foireuse. Bien qu'assez bref (1h40), le film paraît flottant dans son rythme, comme sous anesthésie. C'est gris béton et éthéré à la fois, et rien ne m'a touché (à part l'esthétique, rapidement).
Une petite déception.
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