[No-SF] Call me by your name, Luca Guadagnino
- Razheem L'insensé
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[No-SF] Call me by your name, Luca Guadagnino
Été 1983. Elio Perlman, 17 ans, passe ses vacances dans la villa du XVIIe siècle que possède sa famille en Italie, à jouer de la musique classique, à lire et à flirter avec son amie Marzia. Son père, éminent professeur spécialiste de la culture gréco-romaine, et sa mère, traductrice, lui ont donné une excellente éducation, et il est proche de ses parents. Sa sophistication et ses talents intellectuels font d’Elio un jeune homme mûr pour son âge, mais il conserve aussi une certaine innocence, en particulier pour ce qui touche à l’amour. Un jour, Oliver, un séduisant Américain qui prépare son doctorat, vient travailler auprès du père d’Elio.
La critique du film sur Just A Word.
Re: [No-SF] Call me by your name, Luca Guadagnino
Up'.
Grâce aux rétros de la saison 2017-18 dans l'un de mes repères, le Métropole de Lille, je viens de le voir en entier après la deuxième tentative. Je ne sais pas dans quel mesure mon instabilité émotionnelle peut être mise en cause, mais au premier visionnage, mal luné, j'ai pesté pendant une heure, avant de sortir de la salle, contre ce que je prenais pour un pensum pédant et prétentieux, et le deuxième visionnage (impulsé en partie par la critique de Razheem) en a complétement inversé mon avis. En fait, le vernis de haute culture du film est tout à fait justifié par la très belle peinture d'un milieu d'intellectuels passionnés, cadre idéal de cette magnifique histoire d'amour. C'est le seul détail que j'ajouterais à l'excellente critique de Razheem. Bref, ça valait le coup de le retenter.
Grâce aux rétros de la saison 2017-18 dans l'un de mes repères, le Métropole de Lille, je viens de le voir en entier après la deuxième tentative. Je ne sais pas dans quel mesure mon instabilité émotionnelle peut être mise en cause, mais au premier visionnage, mal luné, j'ai pesté pendant une heure, avant de sortir de la salle, contre ce que je prenais pour un pensum pédant et prétentieux, et le deuxième visionnage (impulsé en partie par la critique de Razheem) en a complétement inversé mon avis. En fait, le vernis de haute culture du film est tout à fait justifié par la très belle peinture d'un milieu d'intellectuels passionnés, cadre idéal de cette magnifique histoire d'amour. C'est le seul détail que j'ajouterais à l'excellente critique de Razheem. Bref, ça valait le coup de le retenter.
- Pierre-Paul Durastanti
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Re: [No-SF] Call me by your name, Luca Guadagnino
À tous les sens du terme, la lumière faite film.
Je rêve sur le bord du monde et de la nuit. (…) Qui est là? Ah très bien : faites entrer l’infini. -- Louis Aragon
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