Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar M » 30 juin 2010 à 21:20

Wicker_Man a écrit :Personnellement, je ne jetterai pas la pierre pour les coquilles parce que:
1- ça arrive à tout le monde;
2- on a suffisamment la preuve que Bifrost est un périodique de qualité et que ces coquilles ne sont qu'un épiphénomène;
3- vu le volume de texte à re-vérifier - l'équivalent d'un poche, quand même..! - il est normal que deux-trois coquilles passent à travers les mailles...!

Et, non, je ne touche aucun avantage d'aucune sorte pour dire cela..!!!


Pas mieux. Ce n'est pas les deux ou trois coquilles présentes dans un Bifrost que vont me faire bouder on plaisir de lire le-dit Bifrost.

On oublie souvent que ,même si Olivier est très bien entouré pour faire le Bifrost, le Bélial' reste une petite structure. Comme quoi même en étant petit on peut faire un travail de grande qualité et être aux yeux des lecteurs un GRAND de l'édition.
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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar A.C. de Haenne » 30 juin 2010 à 22:01

On est bien d'accord, il n'y en a pas tant que ça. Mais il y en a plus que deux ou trois. Sinon, je n'en aurais pas parlé dans mon article.

Comme le dit Scifictif :
la flopée de coquilles, et notamment devcoquilles (Ctrl v avortés ?), qui émaillent ce n°. Etonnant pour une revue plutôt clean habituellement.

On voit que c'est la même coquille qui revient.

Franchement, ça n'a rien de réquisitoire, mais c'est tout de même assez important pour le signaler (comme je l'ai fait dans mon article sur la Yozone...)

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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar Isa » 01 juillet 2010 à 11:50

Histoire de passer à autre chose, j'ai lu la nouvelle de Claude Ecken et je l'ai énormément aimée. Pas eu de mal à rentrer dedans malgré mon état de fatigue avancé.
Un seul bémol pour moi, la discussion avec le technicien sur la fin de la nouvelle, un peu trop longue et didactique. Ces éléments auraient gagné à être davantage dispersés plus tôt pour éviter de sortir de l'ambiance oppressante de la nouvelle qui va crescendo. On commence avec un certain malaise face à cette Tatie Danielle aux yeux bridés, puis la nouvelle devient de plus en plus pesante et le malaise ressenti était suffisant, selon moi, pour montrer le piège de la vie "de couple" avec un droïd. Le passage avec le technicien manquait de ce petit quelque chose qui imprègne tout le texte.
Cela dit, la chute était parfaite et d'autant plus glaçante, peut-être, que le lecteur se croyait libéré de cette ambiance étouffante. Donc, une très bonne nouvelle, au final !
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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar Olivier Girard » 01 juillet 2010 à 13:04

A.C. de Haenne a écrit :Franchement, ça n'a rien de réquisitoire, mais c'est tout de même assez important pour le signaler (comme je l'ai fait dans mon article sur la Yozone...)
A.C. de Haenne

Contrairement à ce qui a été dit, il n'y a pas une "flopée" de coquilles dans le Bifrost 58. Mais il est vrai qu'il y en a plus que d'habitude. Cela vient notamment d'un problème de clavier sur l'un des ordinateurs du bureau. La "Pomme" ne marche pas bien, si bien qu'au lien le "coller" quelque chose (soit "pomme+V"), c'est un "V" qui apparaît. Après, je devais être particulièrement fatigué pour ne pas l'avoir vu.
Le pb avec Bifrost, c'est que c'est tjs tellement serré côté délais que je ne dispose pas du temps nécessaire pour une ultime relecture maquette faite (ça arrive aussi parfois sur certains livres, mais c'est bcp plus rare). Du coup, les articles sont relus (deux fois) avant la mise en maquette, mais pas après... C'est tjs une histoire de moyens.
Le n°59 devrait être plus propre.
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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar Isa » 01 juillet 2010 à 14:53

En tout cas, je n'en ai pas trouvées dans les deux nouvelles que j'ai lues. Je dois reconnaître que c'est là que je trouverais ça le plus gênant.
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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar A.C. de Haenne » 01 juillet 2010 à 18:20

Olivier Girard a écrit :
A.C. de Haenne a écrit :Franchement, ça n'a rien de réquisitoire, mais c'est tout de même assez important pour le signaler (comme je l'ai fait dans mon article sur la Yozone...)
A.C. de Haenne

Contrairement à ce qui a été dit, il n'y a pas une "flopée" de coquilles dans le Bifrost 58. Mais il est vrai qu'il y en a plus que d'habitude. Cela vient notamment d'un problème de clavier sur l'un des ordinateurs du bureau. La "Pomme" ne marche pas bien, si bien qu'au lien le "coller" quelque chose (soit "pomme+V"), c'est un "V" qui apparaît. Après, je devais être particulièrement fatigué pour ne pas l'avoir vu.
Le pb avec Bifrost, c'est que c'est tjs tellement serré côté délais que je ne dispose pas du temps nécessaire pour une ultime relecture maquette faite (ça arrive aussi parfois sur certains livres, mais c'est bcp plus rare). Du coup, les articles sont relus (deux fois) avant la mise en maquette, mais pas après... C'est tjs une histoire de moyens.
Le n°59 devrait être plus propre.


Dans mon intervention, il fallait lire "Rédhibitoire" et non pas "Réquisitoire" (comme quoi il faut toujours se méfier des correcteurs d'orthographe et des manipulations trop rapides !).
Pour ma part, je tenais juste à redire à quel point je trouvais dommage de trouver des coquilles dans les pages d'une revue haut de gamme. Car je pense sincèrement que c'est ce qu'est Bifrost. Et les coquilles ne m'ont absolument pas empêcher d'apprécier ce numéro.
Je suis fan de Bifrost. C'est pour cette raison que je me suis abonné, et que je me suis réabonné. C'est pour ça que j'en fait la pub en en parlant sur la Yozone, et sur mon blog...
J'ai bien conscience de la somme de travail (du moins en aie-je une vague idée qui doit bien être en-dessous de la réalité) que représente la fabrication d'une telle revue. Vous faites un super boulot et ce ne sont pas quelques bugs informatiques qui vont me détourner de sa lecture !

Voilà tout ce que j'avais à dire sur le sujet, et désolé encore d'avoir froissé certaines sensibilités, ce n'était pas à dessein. J'estime juste qu'une critique constructive (plus ou moins réussie, j'en conviens) doit aussi parler des points négatifs, aussi minimes soient-ils !

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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar scifictif » 01 juillet 2010 à 18:57

Isa a écrit :Histoire de passer à autre chose, j'ai lu la nouvelle de Claude Ecken et je l'ai énormément aimée. Pas eu de mal à rentrer dedans malgré mon état de fatigue avancé.
Un seul bémol pour moi, la discussion avec le technicien sur la fin de la nouvelle, un peu trop longue et didactique. Ces éléments auraient gagné à être davantage dispersés plus tôt pour éviter de sortir de l'ambiance oppressante de la nouvelle qui va crescendo. On commence avec un certain malaise face à cette Tatie Danielle aux yeux bridés, puis la nouvelle devient de plus en plus pesante et le malaise ressenti était suffisant, selon moi, pour montrer le piège de la vie "de couple" avec un droïd. Le passage avec le technicien manquait de ce petit quelque chose qui imprègne tout le texte.
Cela dit, la chute était parfaite et d'autant plus glaçante, peut-être, que le lecteur se croyait libéré de cette ambiance étouffante. Donc, une très bonne nouvelle, au final !

Je comprends tes réserves à propos de ce passage avec le technicien, mais pour ma part, j'ai bien aimé cet élargissement du champ qui, d'un drame familiale, nous mène à ces considérations psychosociales sur les relations tourmentées entre humains et droïdes.

Un beau texte (avec un beau titre fort à propos) sensible, tout en retenue, touchant, mais aussi glaçant comme tu le soulignes.

Je crois que c'est Claude Ecken qui disait qu'on ne parle bien du présent qu'au futur, et bien entre ego boursouflé, insatisfaction permanente et recherche d'exutoires, vieillissement de la population, isolement des personnes agées et boom des services à la personne, sa nouvelle semble nous entretenir explicitement du présent.
D'ailleurs si la nouvelle se situe au Japon (?), pays réputé pour la place centrale réservée aux aïeux (mais est-ce encore le cas aujourd'hui ?), ce délitement de la cellule familiale narrée dans la nouvelle semble pas mal caractériser la tendance occidentale où les notions de famille et de liens intergénérationnels paraissent de plus en plus désuets.
'fin, me semble.
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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar scifictif » 01 juillet 2010 à 19:42

A.C. de Haenne a écrit :
Olivier Girard a écrit :
A.C. de Haenne a écrit :Franchement, ça n'a rien de réquisitoire, mais c'est tout de même assez important pour le signaler (comme je l'ai fait dans mon article sur la Yozone...)
A.C. de Haenne

Contrairement à ce qui a été dit, il n'y a pas une "flopée" de coquilles dans le Bifrost 58. Mais il est vrai qu'il y en a plus que d'habitude. Cela vient notamment d'un problème de clavier sur l'un des ordinateurs du bureau. La "Pomme" ne marche pas bien, si bien qu'au lien le "coller" quelque chose (soit "pomme+V"), c'est un "V" qui apparaît. Après, je devais être particulièrement fatigué pour ne pas l'avoir vu.
Le pb avec Bifrost, c'est que c'est tjs tellement serré côté délais que je ne dispose pas du temps nécessaire pour une ultime relecture maquette faite (ça arrive aussi parfois sur certains livres, mais c'est bcp plus rare). Du coup, les articles sont relus (deux fois) avant la mise en maquette, mais pas après... C'est tjs une histoire de moyens.
Le n°59 devrait être plus propre.


Dans mon intervention, il fallait lire "Rédhibitoire" et non pas "Réquisitoire" (comme quoi il faut toujours se méfier des correcteurs d'orthographe et des manipulations trop rapides !).
Pour ma part, je tenais juste à redire à quel point je trouvais dommage de trouver des coquilles dans les pages d'une revue haut de gamme. Car je pense sincèrement que c'est ce qu'est Bifrost. Et les coquilles ne m'ont absolument pas empêcher d'apprécier ce numéro.
Je suis fan de Bifrost. C'est pour cette raison que je me suis abonné, et que je me suis réabonné. C'est pour ça que j'en fait la pub en en parlant sur la Yozone, et sur mon blog...
J'ai bien conscience de la somme de travail (du moins en aie-je une vague idée qui doit bien être en-dessous de la réalité) que représente la fabrication d'une telle revue. Vous faites un super boulot et ce ne sont pas quelques bugs informatiques qui vont me détourner de sa lecture !

Voilà tout ce que j'avais à dire sur le sujet, et désolé encore d'avoir froissé certaines sensibilités, ce n'était pas à dessein. J'estime juste qu'une critique constructive (plus ou moins réussie, j'en conviens) doit aussi parler des points négatifs, aussi minimes soient-ils !

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Antoine, non seulement je te donne entièrement raison mais en plus je pense sincèrement que tu n'as pas à te justifier et encore moins à t'excuser.
Le sujet n'est pas et ne doit pas être tabou.

Ce qui m'a surpris, c'est que cette remarque qui, comme tu le dis, n'était en rien un réquisitoire, ait initié ainsi un plaidoyer pour la revue, comme si elle avait besoin d'être défendue, comme si elle avait été attaquée.


P.S : Ce serait quand même plus malin et constructif de causer des textes (surtout que les auteurs sont là, ne l'oubliez pas et profitez-en) que d'épiloguer des pages entières sur les coquilles de ce n°.
Point final sur le sujet, me concernant.
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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar Isa » 01 juillet 2010 à 20:06

Tout à fait d'accord avec le dernier post de Scifictif. Cela dit, je pense que l'intervention de M. Girard n'est pas une façon de se défendre d'une agression mais une explication des causes du problème. Donc AC a eu raison de dire à voix haute ce que d'autres ont pensé sans le dire pour que M. Girard puisse expliquer ce qui s'était passé et rassurer les lecteurs sur le fait que c'était ponctuel et pas une baisse de vigilance de l'équipe sur la qualité de la revue.
Donc AC n'a pas à s'excuser selon moi. M. Girard a bien fait de répondre. Quant à ceux qui sont intervenus pour dire qu'ils aimaient Bifrost, ce n'était pas une réaction à une agression, juste un message de soutien pour dire qu'ils comprenaient le boulot derrière et "pardonnaient" cet écart qui n'avait rien d'habituel.
Enfin bref, pour moi, personne ne s'est fâché.

scifictif a écrit :
Isa a écrit :Histoire de passer à autre chose, j'ai lu la nouvelle de Claude Ecken et je l'ai énormément aimée. Pas eu de mal à rentrer dedans malgré mon état de fatigue avancé.
Un seul bémol pour moi, la discussion avec le technicien sur la fin de la nouvelle, un peu trop longue et didactique. Ces éléments auraient gagné à être davantage dispersés plus tôt pour éviter de sortir de l'ambiance oppressante de la nouvelle qui va crescendo. On commence avec un certain malaise face à cette Tatie Danielle aux yeux bridés, puis la nouvelle devient de plus en plus pesante et le malaise ressenti était suffisant, selon moi, pour montrer le piège de la vie "de couple" avec un droïd. Le passage avec le technicien manquait de ce petit quelque chose qui imprègne tout le texte.
Cela dit, la chute était parfaite et d'autant plus glaçante, peut-être, que le lecteur se croyait libéré de cette ambiance étouffante. Donc, une très bonne nouvelle, au final !

Je comprends tes réserves à propos de ce passage avec le technicien, mais pour ma part, j'ai bien aimé cet élargissement du champ qui, d'un drame familiale, nous mène à ces considérations psychosociales sur les relations tourmentées entre humains et droïdes.


J'ai beaucoup aimé l'idée et l'élargissement que tu soulignes. Juste regretté l'absence d'émotions dans ce passage. On aurait pu avoir les mêmes révélations en "écoutant les paroles à travers la fille" par exemple. Pas juste l'exposé mais le sentiment d'effroi que cela peut provoquer chez cette jeune femme d'avoir fait de son mieux pour soulager sa mère et de se rendre compte qu'elle lui a fait du mal. Et pire, que c'est un phénomène général qui touche plein de gens bien intentionnés. En bref, ce qu'il raconte est quelque part aussi glaçant que le reste, mais la façon dont c'est exprimé nous le fait moins ressentir. Peut-être aurait-il fallu que le technicien lui-même souligne davantage le désarroi des inventeurs qui pensaient faire le bien et ont bouleversé ceux qu'ils voulaient aider.

Un beau texte (avec un beau titre fort à propos) sensible, tout en retenue, touchant, mais aussi glaçant comme tu le soulignes.


J'ai oublié de le dire mais j'ai énormément aimé le titre !
Je crois que c'est Claude Ecken qui disait qu'on ne parle bien du présent qu'au futur, et bien entre ego boursouflé, insatisfaction permanente et recherche d'exutoires, vieillissement de la population, isolement des personnes agées et boom des services à la personne, sa nouvelle semble nous entretenir explicitement du présent.
D'ailleurs si la nouvelle se situe au Japon (?), pays réputé pour la place centrale réservée aux aïeux (mais est-ce encore le cas aujourd'hui ?), ce délitement de la cellule familiale narrée dans la nouvelle semble pas mal caractériser la tendance occidentale où les notions de famille et de liens intergénérationnels paraissent de plus en plus désuets.


Tout à fait d'accord avec cette analyse. Quant au Japon, de ce que j'en sais, ils ont cette culture qui pousse au respect des anciens mais, en même temps, elle pousse à l'extrême inverse. À force de trop mettre en avant la force de l'âge, les jeunes se sont sentis un peu écrasés et ont envie de se libérer. Bref, une fois encore une société encore plus schizophrène sur le sujet que les sociétés occidentales. On peut le voir avec des mangas comme Sanctuary (des jeunes qui essaient de redonner une vie à un Japon où le pouvoir est entièrement accaparé par les vieux) et à l'opposé "Tajikarao" magnifique ode à la tradition. Quant à la question de la dépendance de la vieillesse et de la façon de "se débarrasser" des vieux grâce à la technologie, c'était très bien traité dans RoujinZ (du même réalisateur qu'Akira si je me souviens bien).
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Re: Bifrost n°58 : Spécial Laurent Genefort (avril 2010)

Messagepar A.C. de Haenne » 01 juillet 2010 à 21:07

En vous lisant, je me dis qu'il faut absolument que je relise cette nouvelle que je n'ai pas lue, il me semble, dans les meilleurs conditions, puisque je ne l'ai pas comprise tel que vous en parlez ici. Soit dit en passant, il se dégage de cette nouvelle une incroyable poésie...

A.C. de Haenne

et merci pour le soutien
et j'adore Bifrost aussi...
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