Merci Farfadet et Scifictif pour vos réponses.
La critique de Thomas Day de "Singulier pluriel" me conforte dans mon choix.
J'espere vivement que Lucas Moreno continue à écrire.
Hormis les nouvelles de Borgès, Greg Egan et Philip K.Dick dont j'ai les intégrales (j'attend d'ailleurs Océanique avec impatience), avez-vous des nouvelles qui ont une portée métaphysique aussi grande que Demain les eidolies?
Voici une liste des nouvelles qui m'ont particulièrement marquées (hors les 3 auteurs mentionnés) :
Tout smouales étaient les borogoves Kuttner, henry et Moore, Katheleen
Vous les zombis Heinlein, robert
Le professeur et le médium Harry Morgan
L'heure des enfants Kuttner, henry et Moore, Katheleen
Divisé par l'infini Robert Charles Wilson
L'homme non latéral Martin Gardner
Pour le problème de l'intrication et de la causalité, j'avais deja lu pas mal d'ouvrages dessus sans jamais comprendre ce point précis.
Wikipédia résume pas mal le problème sans pourtant m'éclairer davantage :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Intrication_quantique"Par contre, la mécanique quantique est bien compatible avec la théorie de la Relativité, car on démontre que les états intriqués ne peuvent pas être utilisés pour transmettre une information quelconque d'un point à un autre de l'espace-temps plus rapidement qu'avec de la lumière. La raison est que le résultat de la mesure relatif à la première particule est toujours aléatoire, dans le cas des états intriqués comme dans le cas des états non-intriqués : il est donc impossible de « transmettre » quelque information que ce soit, puisque la modification de l'état de l'autre particule, pour instantanée qu'elle soit, conduit à un résultat de la mesure relatif à la seconde particule qui est toujours aussi aléatoire que celui relatif à la première particule ;
les corrélations entre les mesures des deux particules resteront indétectables tant que les résultats des mesures ne seront pas comparés, ce qui implique nécessairement un échange d'information classique, respectueux de la relativité. Par suite, la mécanique quantique est bien également parfaitement compatible avec le principe de causalité."
C'est le passage en gras que je ne comprend pas. Il est en contradiction avec le fait que deux particules intriquées sont corrélées par nature.