S.T. JOSHI - Je suis Providence
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S.T. JOSHI - Je suis Providence
Alors, euh, plus de détails demain 13h sur Ulule, semble-t-il, mais ActuSF lancerait donc un financement participatif pour la trad de I Am Providence, la monumentale bio de Lovecraft par S.T. Joshi.
Je suis sur le cul et tout frétillant.
Welcome to Nebalia : CR Adventures in Middle-Earth : La Compagnie du Chariot (03)
Random Academy Pilot : Rogue Outpost Weekly League season 3 round 5: Jason Simmons (First Order) vs Nébal (Rebel Alliance)
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Re: S.T. JOSHI - Je suis Providence
Et c'est déjà parti.
Plus de 8 traducteurs sur plus d'une année, 4000€ la préface etc ...
J'ai un peu de mal à être convaincu / séduit par ce financement participatif. Alors que pour le coup je comprends bien que vu l'ampleur de ce projet de niche (grosse niche, certes), un autofinancement serait compliqué.
Plus de 8 traducteurs sur plus d'une année, 4000€ la préface etc ...
J'ai un peu de mal à être convaincu / séduit par ce financement participatif. Alors que pour le coup je comprends bien que vu l'ampleur de ce projet de niche (grosse niche, certes), un autofinancement serait compliqué.
It is a great honor to be here with all of my friends. So amazing + will Never Forget!
Re: S.T. JOSHI - Je suis Providence
W a écrit :J'ai un peu de mal à être convaincu / séduit par ce financement participatif. Alors que pour le coup je comprends bien que vu l'ampleur de ce projet de niche (grosse niche, certes), un autofinancement serait compliqué.
Améliorer sa marge en vendant au maximum en se passant des
L'affaire Herbefol
Au sommaire : La pointe d'argent de Cook, Black Man de Morgan, Navigator de Baxter, Cheval de Troie de Wells & The Labyrinth Index de Stross.
Au sommaire : La pointe d'argent de Cook, Black Man de Morgan, Navigator de Baxter, Cheval de Troie de Wells & The Labyrinth Index de Stross.
Re: S.T. JOSHI - Je suis Providence
8 traducteurs pour " plus de 3 millions de signes en anglais soit 1 200 pages en 2 tomes" c'est assez impressionnant vu de ma fenêtre de lecteur.
Re: S.T. JOSHI - Je suis Providence
Howard Phillips Lovecraft (1890-1937) est un auteur qui fascine autant par son oeuvre que par sa personnalité. Ayant influencé avec ses récits fantastiques et horrifiques (comme L'Appel de Cthulhu) de nombreux écrivains comme Stephen King, ses fictions et sa vie ont été soumises à de nombreuses interprétations pas toujours exactes, véridiques et précises.
Spécialiste des littératures de l'imaginaire et de Lovecraft en particulier, S.T.Joshi travaille sur sa biographie depuis plus de 20 ans. Par son érudition et son ampleur, elle est aujourd'hui considérée comme la référence au niveau mondial.
Pour la première fois en France, sous la direction de Christophe Thill et avec le concours d'une équipe de dix traducteurs, cette biographie est proposée aux lecteurs.
Les deux volumes de Je suis Providence sortiront chez ActuSF le 21 mars.
La fiche du tome 1 et celle du tome 2.
Re: S.T. JOSHI - Je suis Providence
J'ai reçu mes exemplaires. Ils sont beaux mais il faut des bon yeux. C'est pas écrit très gros.
"Sauvez un arbre, mangez un castor"
Re: S.T. JOSHI - Je suis Providence
La version électronique permet de s'affranchir des problèmes de lisibilité. Moins chère en plus.
J'ai lu les premiers chapitres, et la jeunesse de Lovecraft est rendue très vivante par S. T. Joshi, fourmillant de détails qui sont sourcés, et d'analyses que je trouve très pertinentes. C'est un régal de pouvoir lire ce texte directement en français.
Mais le tableau n'est pas idyllique pour autant. J'ai été frappé par plusieurs fautes d'accord dès la courte introduction :
— « références à des œuvres pas forcément facile[s] à identifier »
— « lorsqu’il aborde des sujets trop intimes, tel[s] les céphalopodes »
— « Quelques point[s] ont »
— « Ce qui nous a parfois mené[s] ».
La pêche aux erreurs dans les deux premiers chapitres traduits par Maxime Le Dain et par Annaïg Houesnard n’a pas été particulièrement fructueuse. En revanche, le chapitre 3 qui est traduit par Thomas Bauduret multiplie les erreurs grammaticales. Les suivants semblent davantage épargnés mais pas totalement vierges d’erreur. Voici un tableau qui répertorie mes trouvailles à la lecture des premiers chapitres :
Ce qui est fort regrettable, c’est que l’aide fournie par la correction logicielle des erreurs orthographiques et grammaticales permet avec relativement peu d’efforts de détecter et de corriger l’ensemble ou presque de ce que j’ai énoncé, même sur un texte de trois millions de signes. C'est pourquoi j'ai du mal à comprendre comment autant d'erreurs ont pu subsister.
Autre point de discorde, la typographie. J’ignore si c’est propre à la version électronique, mais j’ai noté une cinquantaine d’occurrences de guillemets en chevrons mal positionnés :
L’» ami de l’auteur » ; ses remarques à l’» ami Bennet » ; que lui inspire l’» idiot d’imprimeur » ; L’» autre » United ; le genre d’» amélioration » qu’il ; la permission d’» utiliser tous ; de l’» énigmatique couplet » ; Selon une interprétation psychologique, l’» ami » n’est plus ; le narrateur d’» Hypnos » est un sculpteur… À voir si cela se trouve dans la version papier, mais si c’est le cas, il me semble impossible d’être passé à côté en cas de relecture des épreuves.
Plus rare, il manque parfois des points en fin de phrase.
J’ai également été très gêné lors de la lecture du passage où Joshi détaille la passion du jeune Lovecraft pour la poésie latine. Lovecraft va très jeune traduire du latin, et Joshi se montre assez élogieux en proposant en regard des traductions classiques en langue anglaise afin de juger du travail du jeune prodige. Malheureusement, tout est traduit en français, sans aucune note qui permettrait de lire les originaux anglais. Au final, toute la démonstration de Joshi tombe ici à l’eau.
J’ai beaucoup grincé des dents à la consultation de la bibliographie en fin d’ouvrage. Joshi a produit une vaste bibliographie ; Christophe Thill y a ajouté un complément français. Mais ce dernier est étonnamment court : sept entrées à peine. Et sur ces sept, une grossière erreur (l’édition en trois volumes chez Laffont est associée à François Truchaud au lieu de Francis Lacassin). L’éditeur à également fait le choix d’offrir une alternative moderne aux traductions classiques et parfois décriées, mais fait totalement l’impasse sur les quatre volumes parus chez Bragelonne (2012—2018), qui méritaient largement de figurer aux côtés des deux volumes (pas toujours bien) traduits par David Camus chez Mnémos. Le travail de François Bon est cité, mais uniquement pour sa traduction du Commonplace Book. Il y a des relents de copinage éditorial dans ce choix, aux antipodes du travail panoramique fourni par Joshi.
Quant aux sources complémentaires, cette microbibliographie française ne s’est guère foulée : y sont mentionnés le poussiéreux Cahier de l’Herne, la belle monographie parue chez ActuSF en 2017, et le guide de Christophe Thill qui n’apportera plus rien à ceux qui auront lu les 1300 pages de la biographie… et paru chez ActuSF aussi.
Enfin, il faudrait juger de la traduction en elle-même. Le texte se lit très bien, c’est une bonne chose. À quelques endroits, le texte français me semblait peu clair et j’ai dû consulter l’original. Exemples :
— Au chapitre 4 : « la découverte de Pluton, en 1902, n’adviendrait pas avant encore 30 ans ». Pluton a été découverte en 1930 ; la traduction est inutilement ambiguë (et d’ailleurs inexacte si l’on se réfère à l’original : Joshi dira « almost 30 years », presque 30 ans — alors que la traduction française est incorrecte du point de vue arithmétique puisqu'elle laisse entendre que la "planète" sera découverte au mieux en 1932).
— Autre exemple, dans le dernier chapitre : « Wilson, qui pose parfois au philosophe, se montre incapable de distinguer entre le pessimisme et « l’indifférentisme » tout différent professé par Lovecraft ». Que faut-il comprendre ? C’est quoi « poser au philosophe » ?
— Dernier exemple : « Mais je pense également qu’Arkham House n’aurait jamais pu durer dans les ventes des œuvres de Lovecraft ». L’original : « but I also maintain that Arkham House would never have stayed afloat at all had it not been for the sales generated from Lovecraft’s work ». La traduction affirme l’inverse de ce que soutient Joshi. À moins qu’il fallait lire « sans les ventes des œuvres de Lovecraft ».
Voilà quelques points négatifs, dont certains auraient pu être évités (je pense aux fautes). Le point positif, c'est l'accès au lecteur francophone de cette biographie très complète, détaillée, vivante, passionnante, et qui fourmille d'analyses pertinentes.
J'ai lu les premiers chapitres, et la jeunesse de Lovecraft est rendue très vivante par S. T. Joshi, fourmillant de détails qui sont sourcés, et d'analyses que je trouve très pertinentes. C'est un régal de pouvoir lire ce texte directement en français.
Mais le tableau n'est pas idyllique pour autant. J'ai été frappé par plusieurs fautes d'accord dès la courte introduction :
— « références à des œuvres pas forcément facile[s] à identifier »
— « lorsqu’il aborde des sujets trop intimes, tel[s] les céphalopodes »
— « Quelques point[s] ont »
— « Ce qui nous a parfois mené[s] ».
La pêche aux erreurs dans les deux premiers chapitres traduits par Maxime Le Dain et par Annaïg Houesnard n’a pas été particulièrement fructueuse. En revanche, le chapitre 3 qui est traduit par Thomas Bauduret multiplie les erreurs grammaticales. Les suivants semblent davantage épargnés mais pas totalement vierges d’erreur. Voici un tableau qui répertorie mes trouvailles à la lecture des premiers chapitres :
Ce qui est fort regrettable, c’est que l’aide fournie par la correction logicielle des erreurs orthographiques et grammaticales permet avec relativement peu d’efforts de détecter et de corriger l’ensemble ou presque de ce que j’ai énoncé, même sur un texte de trois millions de signes. C'est pourquoi j'ai du mal à comprendre comment autant d'erreurs ont pu subsister.
Autre point de discorde, la typographie. J’ignore si c’est propre à la version électronique, mais j’ai noté une cinquantaine d’occurrences de guillemets en chevrons mal positionnés :
L’» ami de l’auteur » ; ses remarques à l’» ami Bennet » ; que lui inspire l’» idiot d’imprimeur » ; L’» autre » United ; le genre d’» amélioration » qu’il ; la permission d’» utiliser tous ; de l’» énigmatique couplet » ; Selon une interprétation psychologique, l’» ami » n’est plus ; le narrateur d’» Hypnos » est un sculpteur… À voir si cela se trouve dans la version papier, mais si c’est le cas, il me semble impossible d’être passé à côté en cas de relecture des épreuves.
Plus rare, il manque parfois des points en fin de phrase.
J’ai également été très gêné lors de la lecture du passage où Joshi détaille la passion du jeune Lovecraft pour la poésie latine. Lovecraft va très jeune traduire du latin, et Joshi se montre assez élogieux en proposant en regard des traductions classiques en langue anglaise afin de juger du travail du jeune prodige. Malheureusement, tout est traduit en français, sans aucune note qui permettrait de lire les originaux anglais. Au final, toute la démonstration de Joshi tombe ici à l’eau.
J’ai beaucoup grincé des dents à la consultation de la bibliographie en fin d’ouvrage. Joshi a produit une vaste bibliographie ; Christophe Thill y a ajouté un complément français. Mais ce dernier est étonnamment court : sept entrées à peine. Et sur ces sept, une grossière erreur (l’édition en trois volumes chez Laffont est associée à François Truchaud au lieu de Francis Lacassin). L’éditeur à également fait le choix d’offrir une alternative moderne aux traductions classiques et parfois décriées, mais fait totalement l’impasse sur les quatre volumes parus chez Bragelonne (2012—2018), qui méritaient largement de figurer aux côtés des deux volumes (pas toujours bien) traduits par David Camus chez Mnémos. Le travail de François Bon est cité, mais uniquement pour sa traduction du Commonplace Book. Il y a des relents de copinage éditorial dans ce choix, aux antipodes du travail panoramique fourni par Joshi.
Quant aux sources complémentaires, cette microbibliographie française ne s’est guère foulée : y sont mentionnés le poussiéreux Cahier de l’Herne, la belle monographie parue chez ActuSF en 2017, et le guide de Christophe Thill qui n’apportera plus rien à ceux qui auront lu les 1300 pages de la biographie… et paru chez ActuSF aussi.
Enfin, il faudrait juger de la traduction en elle-même. Le texte se lit très bien, c’est une bonne chose. À quelques endroits, le texte français me semblait peu clair et j’ai dû consulter l’original. Exemples :
— Au chapitre 4 : « la découverte de Pluton, en 1902, n’adviendrait pas avant encore 30 ans ». Pluton a été découverte en 1930 ; la traduction est inutilement ambiguë (et d’ailleurs inexacte si l’on se réfère à l’original : Joshi dira « almost 30 years », presque 30 ans — alors que la traduction française est incorrecte du point de vue arithmétique puisqu'elle laisse entendre que la "planète" sera découverte au mieux en 1932).
— Autre exemple, dans le dernier chapitre : « Wilson, qui pose parfois au philosophe, se montre incapable de distinguer entre le pessimisme et « l’indifférentisme » tout différent professé par Lovecraft ». Que faut-il comprendre ? C’est quoi « poser au philosophe » ?
— Dernier exemple : « Mais je pense également qu’Arkham House n’aurait jamais pu durer dans les ventes des œuvres de Lovecraft ». L’original : « but I also maintain that Arkham House would never have stayed afloat at all had it not been for the sales generated from Lovecraft’s work ». La traduction affirme l’inverse de ce que soutient Joshi. À moins qu’il fallait lire « sans les ventes des œuvres de Lovecraft ».
Voilà quelques points négatifs, dont certains auraient pu être évités (je pense aux fautes). Le point positif, c'est l'accès au lecteur francophone de cette biographie très complète, détaillée, vivante, passionnante, et qui fourmille d'analyses pertinentes.
- Pierre-Paul Durastanti
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- Enregistré le : 19 avril 2009 à 21:35
Re: S.T. JOSHI - Je suis Providence
Moui. Sur mes "fautes", j'en reconnais la moitié : "scolaire", "chefs d'oeuvre" et "dollars". "Mésentente" peut être au singulier, "apporterait" s'accorde avec "un peu", "en tout cas" est admis voire recommandé par le Larousse et le Robert. Sur 90 feuillets, ma foi... Pas le temps de voir si c'est pareil pour mes confrères. Après, oui, ce serait bien qu'il n'y ait aucune faute, sur un livre de 1400 pages avec 10 traducteurs différents relu par une seule personne. Nostra culpa.
Question subsidiaire : je ne trouve pas trace de votre analyse fouillée sur le site d'ActuSF. Ne serait-il pas plus productif de la publier aussi là-bas ? Chez l'éditeur ?
Question subsidiaire : je ne trouve pas trace de votre analyse fouillée sur le site d'ActuSF. Ne serait-il pas plus productif de la publier aussi là-bas ? Chez l'éditeur ?
Je rêve sur le bord du monde et de la nuit. (…) Qui est là? Ah très bien : faites entrer l’infini. -- Louis Aragon
Re: S.T. JOSHI - Je suis Providence
Merci pour votre réponse. Pour en tout cas : c'est moi qui suis clairement en tort. Pour les deux autres, je n'ai pas de Grevisse sous la main pour m'en assurer. Je ne suis pas certain qu'un verbe s'accorde avec un peu, mais je puis me tromper : https://la-conjugaison.nouvelobs.com/re ... te-240.php
Après, je n'ai pas coutume de chercher la petite bête grammaticale dans un ouvrage ; c'est surtout les lectures de l'introduction et du chapitre 3 qui m'ont fait perdre confiance dans le niveau grammatical de la publication et à opter pour une lecture plus consciencieuse. Fort heureusement, il semble y avoir moins d'erreurs ensuite et ma lecture redevient désormais plus sereine et apaisée.
Concernant le forum d'ActuSF, j'y suis allé avant de poster ici. Je n'ai trouvé aucun sujet ouvert sur la biographie ; le forum semble assez désert ; et il ne m'a pas semblé y voir beaucoup d'interventions du personnel de l'éditeur. J'ai certainement visé plus juste en publiant ici, puisqu'un traducteur s'est prononcé peu après mon message — et je suis sûr qu'il pourra directement transmettre l'information à l'éditeur, alors qu'un message laissé sur le forum ActuSF pourra n'avoir aucun effet avant longtemps :)
Après, je n'ai pas coutume de chercher la petite bête grammaticale dans un ouvrage ; c'est surtout les lectures de l'introduction et du chapitre 3 qui m'ont fait perdre confiance dans le niveau grammatical de la publication et à opter pour une lecture plus consciencieuse. Fort heureusement, il semble y avoir moins d'erreurs ensuite et ma lecture redevient désormais plus sereine et apaisée.
Concernant le forum d'ActuSF, j'y suis allé avant de poster ici. Je n'ai trouvé aucun sujet ouvert sur la biographie ; le forum semble assez désert ; et il ne m'a pas semblé y voir beaucoup d'interventions du personnel de l'éditeur. J'ai certainement visé plus juste en publiant ici, puisqu'un traducteur s'est prononcé peu après mon message — et je suis sûr qu'il pourra directement transmettre l'information à l'éditeur, alors qu'un message laissé sur le forum ActuSF pourra n'avoir aucun effet avant longtemps :)
- Pierre-Paul Durastanti
- L'équipe du Bélial'
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- Enregistré le : 19 avril 2009 à 21:35
Re: S.T. JOSHI - Je suis Providence
C'est sûr qu'ici c'est plus actif, surtout depuis la refonte du site ActuSF. J'essaierai de faire remonter votre point de vue.
Je n'ai pas encore les livres physiques (ce qui m'agace un POIL), mais je les attends avec impatience. Pas sûr que je les lise, ceci dit : comme vous, j'avais la bio VO, et dans cette version.
Je n'ai pas encore les livres physiques (ce qui m'agace un POIL), mais je les attends avec impatience. Pas sûr que je les lise, ceci dit : comme vous, j'avais la bio VO, et dans cette version.
Je rêve sur le bord du monde et de la nuit. (…) Qui est là? Ah très bien : faites entrer l’infini. -- Louis Aragon
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