En lisant ton retour, une réaction s'est imposée à moi :
« c'est vrai qu'il y a moins d'effets spéciaux dans The Croods mais la grand-mère est top et bien présente ! »

De mon côté, j'ai tenu trois épisodes avant de me faire éjecter par une mise en scène que j'ai trouvé insupportable.
Pourtant, j'avais adoré Dark, ô combien ! Dommage. J'aurais vraiment aimé aimer.

Déçu je fus, donc. Et pas qu'un peu. C'est en effet très naïf et maladroit comme l'a dit Gilles. À un tel point que je me suis demandé si l'autrice n'était pas très jeune, ce qui aurait atténué de beaucoup les dégâts. Les sujets abordés, même si leur omniprésence dans les œuvres actuelles peut agace...

En fait, la comparaison avec Burns n'a pas réellement lieu d'être. C'est l'argument de vente et nous sachons tous, au sein de Notre Club, ce que valent les arguments de vente et autres quatrièmes de couves. De mon côté, j'ai lu. Jusqu'au bout pour savoir quoi en dire. Et cette BD m’interroge grave. ...

Mouarf ! T'en dis tellement de mal que ça pique ma curiosité.
Pis une BD qui offre deux coups de grâce, ça ne se loupe pas ! :D

C'est systématique avec ce type odieux, dès qu'il l'ouvre ou gesticule, il est choquant.

Si ça peut te rassurer, j'ai récupéré un tas de vieux Bifrost d'occase,
j'en ai 24 à lire (en plus des 150 bouquins pas lus qui dépriment sur mes étagères)...

De mon côté, à l'époque où je jouais intensivement, je me suis fait traiter d'autiste incapable d'avoir une vie sociale. (Je suis probablement autiste, j'ai jamais eu le temps de creuser cette question...) Le « traiteur » était un dingue de foot qui ne faisait que regarder... du foot à la télé. Moi,...

Cool !
De lui, je ne connais qu'Eifelheim qui est une véritable bombe que j'ai lu deux fois (ce qui est rare !),
et dont je suis le seul être humain, à ma connaissance, à défendre la pertinente couverture de Jackie Paternoster, j'ai donc très hâte !

Lire de la SF oO !? Comème, c'est un peu extrême, non ?
D'ailleurs, elle rend addict. Chuis tombé dedans à l'âge de huit ans, j'y suis toujours, incapable de m'en passer.