Mais quel bavard, ce Gromo ! :p

De mon côté, j'adore. Mais bon, c'est Marc-Antoine Mathieu et j'aime tout ce qu'il fait, je suis donc peu objectif. J'imagine que le N&B va déplaire au plus grand nombre et que la peu discrète ressemblance avec un monument funéraire va faire grincer pas mal de dentiers mais, perso, j'ai éclaté d...

Et venir papoter avec Notre Club ici-même, tu le comptes comme une activité du milieu SF ou on aura encore l'occasion de te lire ?

https://i.postimg.cc/W42VpJGG/Bestiaire-couv.jpg Pour les enfants du quartier, le Parc est un inoffensif jardin public. Mais pour son gardien, c'est un nid de sombres créatures qu'il est seul à voir : asocial et atteint de d'un solide trouble de la rêverie compulsive, Providence s'est donné pour mi...

Oué, faut aussi tenir compte des centaines (voire davantage !) de non-messages qui indiquent peut-être que tout s'est bien passé ? :p Bah non, un bug est un bug il peut y avoir 10 000 000 000 de non messages, un bug est un bug sans remettre en cause le travail de Clément & Co. Zut, chuis vraime...

Oué, faut aussi tenir compte des centaines (voire davantage !) de non-messages qui indiquent peut-être que tout s'est bien passé ? :p

Ah, oui, en effet, c'est l'objet qui agit sur la matière dans le cas de l'écrit. Mais dans le cas de l'oral ? J'ai cru lire (ou entendre) quelque part que les différents langages modifiaient nos corps de manières différentes en fonction de la langue employée. Dans ce cas, il n'y a pas de matière. Ma...

Arf. Je suis toujours « triste » quand quelqu'un passe à côté d'un bouquin que j'ai adoré. Et celui-ci, je l'ai lu deux fois. Et adoré deux fois. Bon... C'est ainsi. Comme l'a dit Gilles un jour quelque part ici, « on ne peut pas plaire à tout le monde » . Cependant, je suis surpris par cette remarq...

Merci Clément pour la maintenance.

J'avais récupéré Les Galaxiales en occasion il y a de nombreux mois et ne les avais jamais ouvertes.
Bon, c'est vrai, je n'ouvre pas beaucoup mes livres, ces derniers mois. Mais là, j'ai un alibi. Et quel alibi !