En l'an de grâce 1972, un musicien japonais fait paraître sous le surnom d’Electric Samurai un album titré
Switched-On Rock, où il reprend au synthé des titres des Beatles, d’Elvis ou de Simon & Garfunkel. Quelque temps plus tard, il se met à sévir sous son propre nom : Isao Tomita. Sous des pochettes au charme SF des plus kitsch, il se lance dans une tâche : populariser au synthétiseur des grands airs du classique, pour un résultat… particulier, dont l'album
Kosmos constitue le plus bel exemple.
Hop.