Antiviral, Brandon Cronenberg (2012)

[Thomas Day]

Bon sang ne saurait mentir ? En tout cas, le fiston retourne aux origines de la filmo du papa, on pense évidemment à Frissons (1975)...

TD

[Thomas Day]

Un extrait.

Le film est présenté à Cannes.

TD

[Thomas Day]

Ce soir aux Utopiales à 21H15, salle Dune.
Sauf catastrophe, imprévu vraiment imprévisible, je serai dans la salle.

TD

[Thomas Day]

Une véritable expérience physique ; ça faisait longtemps que je n'avais pas ressenti ça au cinéma.
Caleb Landry Jones est ahurissant.
On reprochera un rythme un peu lancinant, mais franchement ça vaut le coup de s'accrocher : on n'a JAMAIS vu ça.

Un grand réalisateur et un grand acteur viennent de naître.

TD

PS : Le film est vraiment dérangeant tout en restant subtil.

[Cachou]

Je suis jalouse...

[Clément]

Je confirme, même que le rythme ne m'a pas dérangé et m'a paru bien coller au thème, depuis que j'ai vu le film j'ai l'impression d'avoir la grippe (mais c'est peut-être aussi la météo humide de Nantes). Ça ressemble beaucoup à du Cronenberg père effectivement, en plus froid peut-être (j'allais dire "frais"). Une très bonne surprise.

Sortie en salle en février 2013.

[Algernon]

Sortie en salle en février 2012.

Hé, les amis, je vous l'ai déjà dit et ça me chagrine de devoir vous le répéter : il faut arrêter de remonter le temps pour distribuer des films du futur dans le passé. Vous allez finir par créer un fichu paradoxe avec vos bêtises !

[Clément]

Non mais ça c'est moi, je vis toujours la même année, comme ça je vieillis pas.

[Erwann]

Brandon Cronenberg en interview sur la Yozone.

[CyrilleL]

Vu hier.

Acteur énorme. Ambiance dérangeante dans la veine de la filmo du papa...

Mais...

Un peu plus de clarté dans la narration n'aurait pas nui ! J'ai pas compris un tas de choses. De quoi il est malade ? pourquoi il se prend la température tout le long du film ?

Et puis, j'ai pas réussi à accrocher au concept d'attraper les maladies des célébrités pour s'en rapprocher. J'ai trouvé ça pas crédible, et comme le film repose sur cette idée, c'est un peu gênant.

Quant à l'histoire de la machine qui donne une image d'un virus, c'est juste incompréhensible. C'est joli, mais sans queue ni tête. Il doit modifier la tête du visage pour modifier le virus... Bref...

Ce qui m'a étonné, c'est le rapport entre la pub faite au film (énorme) et le nombre de salles dans lequel il est joué (ridicule)