[série] For All Mankind

[Laurent Queyssi]

La nouvelle série de Ronald D. Moore, une uchronie sur la conquête de l'espace. Je n'en dis pas plus pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte du point de divergence sympathique. Mais c'est vraiment bien.

[Razheem L'insensé]

Et je confirme que « c'est vraiment bien » avec quelques mots en plus.
Merci à Laurent qui a été le premier à attirer mon attention dessus.

[Erwann]

Merci à Laurent qui a été le premier à attirer mon attention dessus.

Pas mieux. Je suis en plein dedans et c'est vraiment bien.

[lonesome]

Je suis aussi en train de la regarder; malgré quelques longueurs je confirme l'originalité de la série qui joue à fond l'uchronie surtout dans le rôle prépondérant donné aux femmes dans le programme spatial U.S. de cette réalité alternative.

[Apophis]

Si vous appréciez ce style d'uchronie, vous devriez, si ce n'est déjà fait, jeter un coup d’œil au roman The calculating stars de Mary Robinette Kowal, car l'autrice y donne aussi un rôle accru aux femmes dans le programme spatial US. Il me semble qu'il doit sortir prochainement en français, d'ailleurs.

[lonesome]

Oh la, toutes ces bonnes femmes d'un coup les Rabid Puppies vont faire une crise cardiaque.

[Shibia]

Si vous appréciez ce style d'uchronie, vous devriez, si ce n'est déjà fait, jeter un coup d’œil au roman The calculating stars de Mary Robinette Kowal, car l'autrice y donne aussi un rôle accru aux femmes dans le programme spatial US. Il me semble qu'il doit sortir prochainement en français, d'ailleurs.

Et le troisième en VO est attendu, avec impatience par certaines, pour cette année.

[Lhisbei]

+1 avec l’enthousiasme général (y compris pour Mary Robinette Kowal)

[Laurent Queyssi]

Et ce qui est super, c'est qu'il y aura une deuxième saison.

[Erwann]

Bonne nouvelle que l'annonce d'une saison 2. J'ai trouvé que la seconde moitié de la saison 1 perd un peu de l'allant qui faisait le sel de la première moitié, mais c'est véniel : l'ensemble est une réussite.
Pour le coup, je suis content d'avoir fait des révisions l'été dernier sur le programme spatial américain : les showrunners de For All Mankind ont bien potassé leur sujet et ça se voit.
D'ailleurs, ça soulève un point de détail intéressant, pour qui aime couper les cheveux en seize, sur le point de divergence d'avec notre histoire : ça n'est pas les premiers pas d'Alexei Leonov, mais quelque chose avant. Est-ce que Sergueï Korolev, le directeur du programme spatial soviétique, vit plus longtemps et parvient à mener à bien ses projets lunaires ? Est-ce qu'il garde plus longtemps les scientifiques allemands récupérés lors de l'équivalent russe de l'opération Paperclip ? La série laisse de quoi imaginer…