[Série] Tales from the loop

[Léo Henry]

(Je trouve ça fascinant en tout cas qu'un univers puisse surgir d'une proposition esthétique, et aussi rapidement. Le boulot de Simon Stålenhag me semble à la fois référencé et distinct, super & improbable synthèse des Ambling Kids et du postapo soviétique, avec un feel mate painting des concept artists du cinoche ou du jeu vidéo. J'ai l'impression que ça compte beaucoup dans l'histoire de la SF, ces bornes visuelles qui sont aussi des pelotes de réjection. Peut-être qu'on a enfin tourné la page du Noir-50s-punk-rock-L.A.-sous-la-pluie !)

[Lve]

C'est drôle, je lisais la nouvelle Mémoire vive, mémoire morte de Klein au moment du visionnage de Stasis, et les 2 oeuvres rentrent parfaitement en résonance ; excellente nouvelle sur l'oubli par ailleurs.
Sinon, la série ne renouvelle pas les thématiques mais j'ai picoré les épisodes avec plaisir sans réelle surprise.

[Meor]

Je viens de la terminer, je l'ai en quelque sorte picorée. Elle m'a beaucoup touchée, si elle ne recycle rien je l'ai trouvé très touchante dans la façon d'aborder les différentes thématiques, dans le passage du temps, du silence, et son attachement aux saisons.
Sans compter le visuel et la musique, la mélancolie et je trouve, une certaine bienveillance vis a vis de ses personnages.

[Thomas Day]

C'est une série qui a du charme, aucun doute là-dessus, mais pas totalement convaincante...

TD

[Sigis]

Je suis en train de la regarder. Je rejoins plutôt ton avis. On dirait parfois du Black Mirror en plus doux-amer. La musique magnifique, je viens de le découvrir, est de Philip Glass. Ceci explique cela.

[Pierre-Paul Durastanti]

C'est... parfois... voire... souvent... un... peu... lent... et... même... languissant...

Mais... c'est... beau...

[Sigis]

Hop, voilà, série visionnée et effectivement, l’émotionnel prend clairement trop le pas sur la narration. Dommage, ça aurait pu être vraiment bien.