Bonjour,
Une signature était prévue ce samedi 17 février à Rennes, à la librairie Critic.
Pour raisons familiales, Aurélien a dû renoncer à ce déplacement.
Après en avoir discuté avec le libraire et les éditions Glénat, nous avons préféré annuler la signature.
On essayera sans doute de trouver une autre date.
TD
Juste un peu de cendres, Aurélien Police / Thomas Day
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Re: Juste un peu de cendres, Aurélien Police / Thomas Day
Oh, étrange dans quel sens ? :-O
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Re: Juste un peu de cendres, Aurélien Police / Thomas Day
J'avoue avoir du mal à comprendre ce qu'est "un décor de jeu vidéo à l'épreuve du réel".
Entre autres choses.
Après commenter les critiques est assez "maladroit", peut vite devenir "puant", donc je vais en rester là.
TD
Entre autres choses.
Après commenter les critiques est assez "maladroit", peut vite devenir "puant", donc je vais en rester là.
TD
Re: Juste un peu de cendres, Aurélien Police / Thomas Day
Lu aussi.
J'ai aimé, principalement pour le travail d'Aurélien Police.
D'une manière générale, je contourne prudemment les zombiries et les vampireries, sources constantes d'un ennui profond chez moi.
Ici, l'histoire m'a à peu près laissé indifférent (mais j'ai déjà dis quelque part ici que j'aimais davantage Gilles pour son travail d'éditeur que pour son travail d'auteur. Avec lui, je reste toujours - je n'ai pas tout lu... - sur ma faim, me disant presque systématiquement : « mais, bordel, il a réuni la matière, il a les idées, pourquoi ne les utilise-t-il pas à fond, pourquoi ne creuse-t-il pas davantage ? »
Ce n'est que mon avis, pour ce qu'il vaut.
Mais j'en reviens au travail sur les images de cette histoire qui, lui, pour le coup, m'a totalement comblé, confirmant haut la main (si ce n'était déjà fait) qu'ô combien Aurélien Police est Grand.
Son talent n'a échappé à personne, même, semble-t-il, à ceux qu'il a pu désorienter.
En revanche, après avoir relu toutes les critiques de l'ouvrage qui ont été relayées ici, je m'aperçois que personne n'a semblé relever l'importance des détails et des « couches de sens » que l'illustrateur place dans ses œuvres.
Ces détails donnent une épaisseur incroyable au contexte, multiplient les informations pour qui prend le temps de les saisir.
Ici, j'ai l'impression que beaucoup d'allusions, de clins d'œil et autres références (sérieuses ou non) m'échappent, même si j'ai eu le plaisir d'en saisir certains.
Dont, parsemées au fil des planches, une déclinaison du visage de la fille en couverture mâtinée de celle que l'on trouve sur Poumon vert, la couverture de Fahrenheit 451, des éléments déjà utilisés pour d'autres couvertures, celle de Sept secondes pour devenir un aigle (astucieusement dissimulée derrière un miroir) et probablement d'autres qui m'auront échappées en première ou seconde lecture.
L'envie de revenir sur une BD est rare (encore un avis perso). C'est le cas pour celles d'Andréas, et ce sera également le cas pour celle-ci même si mon intention sera de la regarder de nouveau plutôt que de la relire.
J'ai également pensé à Bilal, satisfait de voir la relève sérieusement assurée. Et ce n'est pas uniquement parce que Sunny a des cheveux bleus.
J'ai aimé, principalement pour le travail d'Aurélien Police.
D'une manière générale, je contourne prudemment les zombiries et les vampireries, sources constantes d'un ennui profond chez moi.
Ici, l'histoire m'a à peu près laissé indifférent (mais j'ai déjà dis quelque part ici que j'aimais davantage Gilles pour son travail d'éditeur que pour son travail d'auteur. Avec lui, je reste toujours - je n'ai pas tout lu... - sur ma faim, me disant presque systématiquement : « mais, bordel, il a réuni la matière, il a les idées, pourquoi ne les utilise-t-il pas à fond, pourquoi ne creuse-t-il pas davantage ? »
Ce n'est que mon avis, pour ce qu'il vaut.
Mais j'en reviens au travail sur les images de cette histoire qui, lui, pour le coup, m'a totalement comblé, confirmant haut la main (si ce n'était déjà fait) qu'ô combien Aurélien Police est Grand.
Son talent n'a échappé à personne, même, semble-t-il, à ceux qu'il a pu désorienter.
En revanche, après avoir relu toutes les critiques de l'ouvrage qui ont été relayées ici, je m'aperçois que personne n'a semblé relever l'importance des détails et des « couches de sens » que l'illustrateur place dans ses œuvres.
Ces détails donnent une épaisseur incroyable au contexte, multiplient les informations pour qui prend le temps de les saisir.
Ici, j'ai l'impression que beaucoup d'allusions, de clins d'œil et autres références (sérieuses ou non) m'échappent, même si j'ai eu le plaisir d'en saisir certains.
Dont, parsemées au fil des planches, une déclinaison du visage de la fille en couverture mâtinée de celle que l'on trouve sur Poumon vert, la couverture de Fahrenheit 451, des éléments déjà utilisés pour d'autres couvertures, celle de Sept secondes pour devenir un aigle (astucieusement dissimulée derrière un miroir) et probablement d'autres qui m'auront échappées en première ou seconde lecture.
L'envie de revenir sur une BD est rare (encore un avis perso). C'est le cas pour celles d'Andréas, et ce sera également le cas pour celle-ci même si mon intention sera de la regarder de nouveau plutôt que de la relire.
J'ai également pensé à Bilal, satisfait de voir la relève sérieusement assurée. Et ce n'est pas uniquement parce que Sunny a des cheveux bleus.
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Re: Juste un peu de cendres, Aurélien Police / Thomas Day
Aldaran a écrit :Avec lui, je reste toujours - je n'ai pas tout lu... - sur ma faim, me disant presque systématiquement : « mais, bordel, il a réuni la matière, il a les idées, pourquoi ne les utilise-t-il pas à fond, pourquoi ne creuse-t-il pas davantage ? »
Ce n'est que mon avis, pour ce qu'il vaut.
Parce que je considère que c'est au lecteur de faire cette démarche... Je me sens à l'aise avec le sentiment de frustration que laissent la plupart de mes textes.
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Re: Juste un peu de cendres, Aurélien Police / Thomas Day
Thomas Day a écrit :Aldaran a écrit :Avec lui, je reste toujours - je n'ai pas tout lu... - sur ma faim, me disant presque systématiquement : « mais, bordel, il a réuni la matière, il a les idées, pourquoi ne les utilise-t-il pas à fond, pourquoi ne creuse-t-il pas davantage ? »
Ce n'est que mon avis, pour ce qu'il vaut.
Parce que je considère que c'est au lecteur de faire cette démarche... Je me sens à l'aise avec le sentiment de frustration que laissent la plupart de mes textes.
Me voilà soulagé, j'ai craint un instant avoir été un peu loin dans la franchise (ce qui peut m'arriver, étant incurable).
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