Albumine Tagada a écrit :J'avais tenté quelques webtoons, notamment suite à une conversation ici-même où Weirdaholic et toi, je crois, proposiez quelques titres - sans parler de quelques Solo Leveling chourés à un neveu de passage. Mais j'ai beau essayer, rien n'y fait : quelque chose bloque. C'est peut-être dû à la lecture numérique, ou au rythme des récits bien souvent étirés à l'extrême, mais non, décidément : ça ne colle pas.
Bon, en webtoons, dans le genre de
Solo Leveling, je préfère largement
Tower of God (en pause actuellement suite à la dépression de son auteur,
SIU même si la VF est loin d'avoir rattrapé la VO), mais c'est en effet un titre long, tout comme
unOrdinary, autre incontournable (quant à
Let's play, c'est de la romance dans l'univers du jeu vidéo, et pour moi l'aspect romance prend trop d'importance au fur et à mesure que l'histoire se développe, je n'ai donc lu que la première saison).
Par contre, il y a des titres courts (et qui savent jouer intelligemment du format vertical, lequel ne passe pas toujours très bien en papier ; si j'étais éditeur, je publierai les webtoons en format à l'italienne, mais avec les cases lisibles dans la longueur de format, comme un calendrier, je ne sais pas si je suis clair).
J'en ai effectivement chroniqué deux,
Annarasumanara ici et
Sang et papillons ici ; mais il y en a d'autres - attention, les titres finis sont souvent payants sur les sites, passés quelques épisodes.
A mon avis, tu dois pouvoir trouver ton bonheur dans le lot, mais je te conseille d'aller voir sur la version anglaise des sites, qui offre plus de choix (y compris des dérivés de comics DC, comme
Zatanna & the Ripper) ; je pense notamment au
Stagtown de
Punko, série d'histoires courtes d'horreur se déroulant dans la même ville et autour du même personnage, voir
ici.
De ce que j'ai vu pour l'instant, ça ressemble un peu à
Junji Ito pour la force de l'inspiration visuelle, et il y a au moins un gros clin d'oeil à
Lovecraft dans le premier épisode (sans tentacules, je précise) ; bon, je le lis par petits bouts, mais je ne désespère pas de le chroniquer un jour...