Sans doute est-il ici un peu difficile de retrouver la créatrice de La main Gauche de la nuit, mais, ainsi qu’elle le détaille dans la longue et précieuse interview qui clôt le volume et où elle se réfère à Borges, ce qui compte avant tout dans une œuvre de fiction, ce n’est pas le réalisme mais l’imagination. Cet opuscule tombé du ciel en est la preuve
C'est l'avis de Jean-Pierre Andrevon dans les news de L'Écran Fantastique.