Le Laboratoire de l'imaginaire, Fabrice Chemla (octobre 2024)

[Erwann]

… plongeons dans les 340 pages d’un parcours bien plus abordable qu’il pourrait sembler, et peut répondre au slogan du “Pilote’ de jadis : s’instruire en s’amusant.

C'est l'avis de Jean-Pierre Andrevon dans la newsletter de L'Écran fantastique.

[Erwann]

Que l’on soit novice ou que l’on souhaite rafraichir ses connaissances, Le laboratoire de l’imaginaire démontre avec brio (s’il en était besoin) combien l’étude des sciences peut se révéler passionnante. Bonheur supplémentaire, ce livre nous invite à redécouvrir sous un angle nouveau quelques grands classiques de la science-fiction. Chapeau bas pour ce Grand Œuvre !

L'avis de JFS sur nooSFère !

[Olivier Girard]

Un ouvrage indispensable aux profs de chimie curieux et aux lycéens passionnés de SF, pour les autres un moyen subtil d’enrichir ses connaissances

Sur Daily Passions.

[JDB]

Le Laboratoire de l'imaginaire finaliste du Prix spécial Martin Lessard, l'un des prix décernés par le Festival Sirennes.

Martin Lessard était un auteur québécois de science-fiction, fervent défenseur de l’édition alternative, décédé en août 2018.
Ce prix rend hommage à l’esprit d’indépendance et de transmission qui l’animait. Il récompense l’audace éditoriale parmi des ouvrages de la petite édition.
Il peut primer un roman, des nouvelles, comme un essai ou un beau livre.

Source: le site du festival.
JDB

[Erwann]

Quelques mots sur le Labo… chez Boojum !

[Erwann]

Le Laboratoire de l'Imaginaire est co-lauréat du prix spécial Martin Lessard du festival Sirennes, avec L'Imaginaire au pouvoir de Vincent Gerber (Le Passager clandestin). Source.

[M]

Bravo. C'est amplement mérité. Ce livre est une pépite.

[Erwann]

Au sortir de ce livre, qui s’adresse plus au néophyte désireux d’apprendre sans s’ennuyer qu’au strict chimiste ex cathedra qui çà et là pourra tiquer sur certaines approximations – mais engrangera au passage de nombreuses images frappantes pour ses enseignements, qu’ai-je tiré, avec ma double sensibilité de scientifique et de lecteur assidu de littérature fantastique ? Une acceptation que je pourrais traduire ainsi. Comme scientifique, je reconnais que tout prouve que le yéti est un ours, et que l’abbé Saunière a fait fortune grâce à de dispendieuses messes privées. Mais derrière le scientifique, quelque chose en moi de buissonnier se plaira toujours à imaginer que, dans une logique tangente, un mystérieux primate hante l’Himalaya, et que l’église de Rennes-le-Château a été construite grâce au trésor caché des Templiers. Ce livre me dit que je n’ai pas à en avoir honte.

L'avis d'Éric Marceau dans l'Actualité chimique, revue éditée par la Société Chimique de France (on ne rigole plus !).