J’ai donc bien apprécié ce texte. Reynolds sait toujours bien manier le vertige et l’émerveillement, en installant tout ça autour d’une bonne intrigue et de personnages intéressants, le tout arrosé de quelques ingrédient habituels comme l’évocation des arts. Bref, comme d’habitude j’en redemande.
Weirdaholic a écrit :En entreprenant de lire les chroniques en français et en anglais sur le sujet, je suis tombé sur cette amusante coquille :Derek Johnson a écrit :Members of the Genitan Line…
Alastair Reynolds réussit de beaux moments poétiques qui à eux seuls valent le détour, et évolue vers des enjeux « bigger than life » époustouflants.
Quel plaisir de re-découvrir la plume soyeuse mais ô combien hard SF de Reynolds, avec son sense of wonder merveilleux, encore plus prégnant dans ce court roman : on traverse des milliers d'années, on explore des mondes et on vit des aventures onirique splendides. Derrière cette courte escapade qui préfigure le roman La Maison des Soleils (dans lequel on retrouvera les deux protagonistes de cette novella), il se cache aussi un thriller palpitant ainsi qu'une belle réflexion autour de la quête dus avoir et son prix à payer.
Alastair Reynolds nous livre avec La Millième Nuit un space opera d’une envergure impressionnante et d’une profondeur remarquable. J’ai hâte de poursuivre le voyage avec La Maison des Soleils.
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