La Peste du léopard vert, Walter Jon Williams (septembre 2023)

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"J’ai passé un très bon moment", résume Herbefol.
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[Erwann]

La Peste du Léopard vert donne donc envie de renouer avec un auteur que l’on avait peut-être oublié et dont l’imaginaire original reste plus que jamais au service d’un questionnement sur notre monde. Avec le présent titre, Walter Jon Williams tend ainsi à montrer que l’amour, plus que la foi, dispose de la capacité à déplacer les montagnes, même si cela n’empêche pas la cruauté.

L'avis d'Ubik !

[JDB]

Walter Jon Williams jubile.

Vous n'avez sûrement pas oublié "La Peste du léopard vert", ma novella lauréate du Nebula, où un virus contagieux permettait aux gens de capter directement l'énergie solaire.
Eh bien, devinez quoi? Le prédictomètre WJW a encore marqué un point!
A en croire cette vidéo, des "scientifiques" (c'est toujours ainsi qu'on les appelle dans ce genre de présentation) ont trouvé un moyen d'implanter des chloroplastes dans des tissus de mammifères--plus précisément de hamsters.
Attendons-nous à découvrir sous peu des essaims de super-hamsters verts envahissant le paysage. Ou à tout le moins des films du genre La Nuit du hamster.
Il me tarde de voir ça.!

Source: le mur facebook de l'auteur.
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[yogo]

Intelligent, sobre et efficace, Jon Walter Williams n'en est pas moins cynique voire désabusé.

Je n'avais pas partagé mon avis sur celui-ci

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Intelligent, sobre et efficace, Jon Walter Williams n'en est pas moins cynique voire désabusé.

Je n'avais pas partagé mon avis sur celui-ci

Merci. Ce billet de blog était passé sous mon radar.
JDB

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Bref, je recommande fortement ! À fond !

Ainsi conclut Jack Barron Reads.
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[JDB]

Un exercice de haute volée qui nous rappelle à la fois ce qu’est la science-fiction fidèle à elle-même, et ce que peut réaliser un artiste qui en maîtrise les codes dans le détail, pour mieux s’en affranchir si besoin est.

Ainsi se conclut la critique de Hugues Robert sur le blog Charybde 27.
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