Les 7 pierres de l’espace se révèle un très bon épisode de la série avec des temps forts mémorables, alors embarquez à bord du Comète, le vaisseau le plus rapide du système, et prenez une bonne dose de « Capitaine Futur ».
L'avis de la Yozone.
Les 7 pierres de l’espace se révèle un très bon épisode de la série avec des temps forts mémorables, alors embarquez à bord du Comète, le vaisseau le plus rapide du système, et prenez une bonne dose de « Capitaine Futur ».
Sur DailyPassions!Je me suis posé la question de savoir pourquoi nous « aimions » ce type de roman. Et je me suis trouvé deux éléments de réponses… D’abord, parce que c’est facile et agréable à lire, on sait où on va. Ensuite, parce que nous avons tous hurlé à Guignol que Gnafron était derrière le rideau prêt à donner du bâton… Vous vous souvenez quand nous essayions de sauver le héros qui, bien sûr, n’avait nul besoin de nous. Nous avons grandi et remplacé Guignol par la séquence du bar dans le premier Star Wars… ou par Dick Tracy version Warren Beatty. Vous vous souvenez ? Et nos sourires ont remplacé nos cris juste avant que Curt se fasse assommer…
Du danger à la James Bond cuisiné avec cliffhanger en fin de chapitre, de l'humour avec les éternelles chicaneries entre Grag et Otho, un brin de policier à la Agatha Christie avec la recherche de l'identité réelle du Destructeur parmi un panel restreint de personnages, de la technologie étrange et des civilisations inconnues.
Un carambar, je vous dis.
Volontiers démodé pour certains, la saga du Capitaine Futur s’avère pourtant une lecture des plus distrayantes. On y retrouve les rebondissements les plus variés, démontrant le talent d’Hamilton à surprendre son lecteur. Bien sûr, la psychologie des personnages est sommaire, c’est du pulp. Mais le pulp, c’est la nostalgie camarade (il n’y a qu’à voir la magnifique couverture de Philippe Gady).
Et en ces temps troublés, la nostalgie réchauffe le cœur : lisez Capitaine Futur.
Nelson a écrit :Je viens d'enchaîner les 5 premier tomes. C'était un vrai petit vent de fraîcheur, bien agréable, qui m'a permis de me rincer le Palais après le trilogie de béton de Ballard qui m'avait mis le moral à zéro. J'attends avec impatience le sixième. :)
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