Nouvelles de Léo Henry par email

[Léo Henry]

Et c'est terminé !

Les Nouvelles par email ont bouclé leur voyage dans le temps, au rythme d'un texte par mois pendant dix ans.

Elles seront compilées & republiées à l'automne dans un énorme bouquin titré CENT VINGT, maquetté par Laure Afchain, couverturé par Corinne Billon, publié par La Volte.

[Olivier Girard]

Chouette news, ça !
Et bravo à Laure, qui s'est à coup sûr bien arrachée les cheveux sur le monstre.
Vivement !

[Bruno78]

Même si j'ai énormément de retard dans la lecture des textes, j'ai apprécié de faire ce bout de chemin avec ces nouvelles... Merci Léo !

[Weirdaholic]

Bon, je ne sais pas trop s'il faut ouvrir une discussion dédiée dans le forum des oeuvres, ou poursuivre celle-ci...

Voici donc la couverture de Cent vingt, ainsi que le résumé éditeur :

IMPOSSIBLE de dénombrer les lieux, les personnages ou les idées contenus dans ces pages. On sait qu’on y croise pêle-mêle Borges, Nina Simone, Mallarmé, Kurt Schwitters ou Hildegarde von Bingen… Mais où finira la liste ? Cet ensemble de nouvelles génère spirales et aspirations, en un vortex vertigineux. Livre-objet inclassable, en invention perpétuelle, CENT VINGT rassemble toutes les manies d’un écrivain-acrobate, agile en littératures historique, poétique, ou merveilleuse.

Léo Henry pourrait écrire SUR TOUT ET SUR N’IMPORTE QUOI. C’est d’ailleurs ce qu’il a fait, une fois par mois, tous les mois, pendant dix ans. Et c’est le livre que vous avez sous les yeux.

Cent vingt nouvelles, dont une cinquantaine de collaborations avec d’autres artistes – photographes, peintres, musiciens, écrivains – sous forme de polar, de cauchemar, de saloon ou de site en HTML. Léo Henry brille dans l’organisation du désordre. Il déplie son style dans toutes les situations : inépuisable d’inventivité et de poésie.

DANS CE LIVRE QUI DÉBORDE SANS CESSE, la lecture devient elle-même une expérience du LABYRINTHE.

On se prend au jeu du pistage : déplier une affiche flowchart, surprendre une voix lointaine sur un enregistrement grésillant, chercher le détail crucial dans une photo. Succession de passages entre souvenirs et rêves, personne à ce jour n’en a épuisé les galeries.

CENT VINGT compile les trésors d’un défi tenu sur dix ans, d’une écriture minutieuse et complice.

Voici aussi ma chronique émerveillée :
* qui utilise 4 S (Stratification, Symbolisme, Surprise, Style) pour parler de Léo Henry, comme il y a 3 S pour parler de Ian Fleming (Snobisme, Sadisme, Sexualité) ;
* qui cite sans vergogne les préfaciers et postfaciers de Léo Henri (Mélanie Fazi, Richard Comballot, luvan), mais aussi Bachelard ou Kundera ;
* qui mentionne au moins une fois le numéro de chacune des 120 nouvelles ;
* dont la lecture est donc fortement déconseillée aux migraineux chroniques. ^_^