Le Syndrome de l'éléphant, Thierry di Rollo
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Le Syndrome de l'éléphant, Thierry di Rollo
Une nuit, Launey et Jocelin, deux voleurs habitués à travailler en équipe, tombent sur un os. Un pépin difficile à avaler, puisque jusqu'alors il n'y avait jamais eu de problème, jamais la moindre rencontre importune. En effet, Jocelin possède un véritable don pour repérer les maisons que l'on peut cambrioler sans risque. Le sang coule. Les deux voleurs se retrouvent avec un cadavre sur les bras et leur relation change à jamais : pour l'un, tout est fini ou presque ; pour l'autre, l'histoire ne fait que commencer… Car le don de Jocelin pourrait bien être la malédiction de Launey.
Je poursuis, toujours, ma rétrospective sur Thierry Di Rollo avec son premier hors-piste en dehors du genre (enfin, presque).
Re: Le Syndrome de l'éléphant, Thierry di Rollo
"Condamné à regarder les pantins humains s’ébattre au sein de ses histoires terribles pour mieux constater les fêlures de leurs âmes et en extirper les charbons ardents qui rougeoient encore."
Plutôt bien dit, Nicolas.
Au départ, la couverture choisie était la photographie d'un éléphant en clair-obscur. J'aurais dû m'y tenir.
Ce roman a été une respiration, pour moi. Après l'écriture de la Tragédie humaine, j'avais besoin de revenir dans le présent. Bon, je le concède, un présent à mon aune. Mais quand même, pouvoir enfin décrire un personnage qui conduit une voiture normale, boit un café et ne dégaine pas un Royster! Plaisanterie mise à part, j'en avais besoin.
Plutôt bien dit, Nicolas.
Au départ, la couverture choisie était la photographie d'un éléphant en clair-obscur. J'aurais dû m'y tenir.
Ce roman a été une respiration, pour moi. Après l'écriture de la Tragédie humaine, j'avais besoin de revenir dans le présent. Bon, je le concède, un présent à mon aune. Mais quand même, pouvoir enfin décrire un personnage qui conduit une voiture normale, boit un café et ne dégaine pas un Royster! Plaisanterie mise à part, j'en avais besoin.
“Tout notre raisonnement se réduit à céder au sentiment.” B. Pascal.
“The light that burns twice as bright burns half as long, and you have burned so very, very brightly, Roy.” Blade Runner.
“The light that burns twice as bright burns half as long, and you have burned so very, very brightly, Roy.” Blade Runner.
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