Pour vous faire peur (ou envie), un extrait de ma chronique :
Transfiction post-exotique et poétique, placée sous le triple patronage de Francis Berthelot, Antoine Volodine et Tristan Corbière (voir page 155) ; dispositif textuel orchestrant la collision de textes météoritiques, dans la lignée de Georges Perec et d'Alain Robbe-Grillet ; formidable hommage à l'écriture et à cet autre rimbaldien qui l'autorise, à travers 112 exercices à la Gordon Lish : Wohlzarénine est tout cela, et plus encore – c'est surtout une oeuvre à côté de laquelle il serait vraiment dommage de passer.
(Notez que Thomas Day fait partie des auteurs et autrices à qui Léo Kennel rend hommage en empruntant une phrase pour bâtir l'oeuvre de Wohlzarénine ; il manque Léo Henry, par contre.)