L'Antre, Brian Evenson
- Razheem L'insensé
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L'Antre, Brian Evenson
« L'antre, un lieu sous terre où il se réveille. Dehors, l'air est irrespirable. Pourtant, il va devoir sortir. Sa survie semble être à ce prix. Mais qui est-il ? Est-il aussi seul qu'il le pense ? Et d'où lui viennent les souvenirs qui le hantent ? Le terminal qu'il interroge possède peut-être quelques-unes des réponses aux questions qu'il se pose. Mais le terminal a aussi une question à lui poser : qu'entend-il par ce mot de personne ? »
Avec L'Antre, Brian Evenson plonge son lecteur dans une fable post-apocalyptique où, au-delà de la survie de l'humain, c'est la définition même de l'humanité qui est en jeu.
En avant-première, la critique du retour de Brian Evenson (ENFIN) en France avec L'Antre, une novella brillante et troublante qui renoue avec les grandes obsessions de son auteur.
Re: L'Antre, Brian Evenson
Effectivement, c'est déroutant comme lecture. Mais je ne regrette pas ma découverte de l'auteur. Je vais vite enchaîner sur l'autre paru en même temps.
De l'autre côté des livres
if wishes were fishes we'd all cast nets
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Re: L'Antre, Brian Evenson
Une histoire fascinante et déroutante qui m'a emballé. Je vais moi aussi me plonger dans Immobilité pour continuer de découvrir la plume de Brian Evenson
- FeydRautha
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Re: L'Antre, Brian Evenson
À la suite d'Immobilité, voici L'Antre de Brian Evenson. Moins sombre que le roman, peut-être aussi moins marquante, cette novella prolonge la réflexion vers des territoires annexes. À lire après Immobilité.
C'est mon avis.
"Scientifiquement, c'est un immense bordel la réalité."
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Re: L'Antre, Brian Evenson
FeydRautha a écrit :À la suite d'Immobilité, voici L'Antre de Brian Evenson. Moins sombre que le roman, peut-être aussi moins marquante, cette novella prolonge la réflexion vers des territoires annexes. À lire après Immobilité.
C'est mon avis.
Et je le partage. Mais j'ai beaucoup aimé aussi.
Re: L'Antre, Brian Evenson
Je suis un amateur d'Evenson, j'ai adoré tout ses recueils de nouvelles (genre où il excelle), je suis un peu resté sur ma faim.
Son côté "mash up entre Beckett et Bret Easton" (qui n'est pas sans me faire penser à notre frenchie JM Agrati, par endroits) ne fonctionne tout simplement pas sur un format SF post-apo, le caractère ironique fait plouf la moitié du temps, et la narration peine quand même à faire quoi que ce soit quand on est "rompu" au genre, et que ce qui est censé être brouillé apparait comme cousu de fil blanc.
J'appréhende Immobilité...
Son côté "mash up entre Beckett et Bret Easton" (qui n'est pas sans me faire penser à notre frenchie JM Agrati, par endroits) ne fonctionne tout simplement pas sur un format SF post-apo, le caractère ironique fait plouf la moitié du temps, et la narration peine quand même à faire quoi que ce soit quand on est "rompu" au genre, et que ce qui est censé être brouillé apparait comme cousu de fil blanc.
J'appréhende Immobilité...
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