Natalio est un classe 5, les flics les plus méprisés de la City, chargés d’éliminer discrètement les dissidents. Suite à un accident, il doit se procurer un nouvel « électroquant », robot d’apparence plus ou moins humaine qui lui sert d’assistant. Fauché, il se rabat sur un vieux modèle bas de gamme qui se distingue rapidement par l’inquiétante étrangeté de ses expressions et de ses réactions. Mais Natalio n’a pas le temps de s’interroger sur ces anomalies : il a un nouveau cas à résoudre. Une intrusion a eu lieu dans une de ces usines à rêves où se réfugient tant d’habitants de la City pour échapper à leurs vies misérables. Et des résultats lui sont demandés au plus vite…
Après la trilogie « Santiago Quiñones », Boris Quercia change d’univers et nous projette dans un futur digne d’un Philip K. Dick, gangrené par la marchandisation du vivant et la dépendance aux machines.
Les rêves qui nous restent, roman de Boris Quercia traduit de l'espagnol (Argentine) par Gilles Marie et Isabel Siklodi, sortira le 7 octobre chez Asphalte.
La fiche du livre.
Les rêves qui nous restent, Boris Quercia
- Razheem L'insensé
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Re: Les rêves qui nous restent, Boris Quercia
Lu vite et bien, une bonne dystopie qui remploie pas mal de codes du genre mais qui apporte son lot de belles choses, notamment autour de la place de la technologie dans la société de demain.
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Re: Les rêves qui nous restent, Boris Quercia
Je ne vais pas me démarquer : une très bonne lecture.
Re: Les rêves qui nous restent, Boris Quercia
Du cyberpunk sombre classique avec un décalage de point de vue intéressant.
De l'autre côté des livres
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