Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
Si j'ai bien compris, Aldaran à retrouvé sa part manquante avec Erwann, histoire d'illustrer le mythe platonicien.
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
Hé ! Je veux pas d'emmerdes avec Mme Erwann, moi !
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
Aldaran a écrit :Hé ! Je veux pas d'emmerdes avec Mme Erwann, moi !
En matière de nanars et navets, madame est plus curieuse et plus résistante que moi. J'ai beaucoup à apprendre d'elle.
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
Où l'on apprend que rien n'est hasard, la grand-mère d'Arielle ayant été proche de Ray Bradbury, dont elle aurait traduit Fahrenheit 451, et qui lui a dédié L'arbre d'Halloween (ce dernier fait est avéré).
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
C'était magnifiquement nul. Involontairement drôle et consternant.
Bien entendu, il n'est nulle part question d'alien, de cristal ou de palace dans Alien Crystal Palace.
Du WTF permanent (big up aux policiers en tenue SM), des dialogues qui ne riment à rien (en anglais ou en français, soyons internationaux), des personnages aux réactions incohérentes, des acteurs qui jouent chacun dans leur partition — avec des mentions spéciales pour Jean-Pierre Léaud, impeccable en momie, et l'acteur-coscénariste-musicien Nicolas Ker, dont j'imagine l'ego fort melloné —, une histoire sans queue (enfin, si, on en voit une vite fait) ni tête mais et pas mal de nichons (dont ceux d'Arielle Dombasle, en forme) pour tenter de garder l'attention du spectateur — idem pour les scènes saphiques —, un montage raté, un usage intensif des stockshots. On ne s'ennuie pas, et j'imagine que l'équipe s'est amusée sur le tournage.
Quelques répliques s'appliquent curieusement au film :
« Le résultat de mes expériences n'a abouti qu'à un échec. »
« Le film ? On s'en fout du film. »
Un nanar de compétition.
J'ai adoré.
Aldaran m'a confier envisager de le revoir, parce que, avouons-le, on n'a pas tout compris.
Bien entendu, il n'est nulle part question d'alien, de cristal ou de palace dans Alien Crystal Palace.
Du WTF permanent (big up aux policiers en tenue SM), des dialogues qui ne riment à rien (en anglais ou en français, soyons internationaux), des personnages aux réactions incohérentes, des acteurs qui jouent chacun dans leur partition — avec des mentions spéciales pour Jean-Pierre Léaud, impeccable en momie, et l'acteur-coscénariste-musicien Nicolas Ker, dont j'imagine l'ego fort melloné —, une histoire sans queue (enfin, si, on en voit une vite fait) ni tête mais et pas mal de nichons (dont ceux d'Arielle Dombasle, en forme) pour tenter de garder l'attention du spectateur — idem pour les scènes saphiques —, un montage raté, un usage intensif des stockshots. On ne s'ennuie pas, et j'imagine que l'équipe s'est amusée sur le tournage.
Quelques répliques s'appliquent curieusement au film :
« Le résultat de mes expériences n'a abouti qu'à un échec. »
« Le film ? On s'en fout du film. »
Un nanar de compétition.
J'ai adoré.
Aldaran m'a confier envisager de le revoir, parce que, avouons-le, on n'a pas tout compris.
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
'Tain ! J'étais sûr qu'il allait me griller. Faut absolument que je trouve des chemins de retour sans bars.
Bon... je vais tenter de relativiser l'avis au mixeur de notre ami Erwann.
Ce n'était pas nul. C'était quand même un flim. (En plus, je l'ai pris en flag de sourire en coin
au même moment que moi, quand l'un des acteurs dit « Le scénario ? On comprend rien au scénario »).
Ici, je sais que nombre de lecteurs attendent le vertige de leurs lectures.
À ceux-ci, donc : allez voir Alien Crystal Palace, c'est une mine infiniment insondable de vertiges.
Et, pour ceux qui pensent savoir ce qu'est le vertige, allez-y aussi, vous ne savez pas de quoi il retourne, là.
Comme dit plus haut, on y comprend rien.
J'avoue que ça m'a souvent rappelé la « vraie vie », en fait.
Je dois faire parfois la même tête quand je sors de ma grotte que devant ce flim.
Je trouve que le regret est aussi nul qu'inutile mais je regrette presque de ne pas être Arielle Dombasle,
ça me coûterait moins cher que d'être moi (et, en plus, je pourrais trouver le sommeil).
Les seins sont effectivement présents mais (je précise pour les spécialistes)
ne parviennent à retenir qu'une demie paupière éveillée (les fesses sont mieux).
Oui, c'est vrai, on nous laisse tout juste le temps de voir une queue joviale chaleureusement empoignée.
L'apex du métrage, je pense. (Pour les fainéants voyeurs, c'est dans le premier quart d'heure.)
Je veux revoir ce truc ! (Mais gratos, la prochaine fois, je vais donc tâcher de me le... procurer, comme disent les traducteurs.
Ah ! J'oubliais...
Avant de prendre les billets, on se demandait, avec Erwann,
ce que voulait dire VO pour les autres séances de ce flim que nous avons vu en VF.
Finalement, on ne saura jamais. C'était à la fois français et anglais avec sous-titres. Il y a peut-être un filon philosophique, ici.
Bon... je vais tenter de relativiser l'avis au mixeur de notre ami Erwann.
Ce n'était pas nul. C'était quand même un flim. (En plus, je l'ai pris en flag de sourire en coin
au même moment que moi, quand l'un des acteurs dit « Le scénario ? On comprend rien au scénario »).
Ici, je sais que nombre de lecteurs attendent le vertige de leurs lectures.
À ceux-ci, donc : allez voir Alien Crystal Palace, c'est une mine infiniment insondable de vertiges.
Et, pour ceux qui pensent savoir ce qu'est le vertige, allez-y aussi, vous ne savez pas de quoi il retourne, là.
Comme dit plus haut, on y comprend rien.
J'avoue que ça m'a souvent rappelé la « vraie vie », en fait.
Je dois faire parfois la même tête quand je sors de ma grotte que devant ce flim.
Je trouve que le regret est aussi nul qu'inutile mais je regrette presque de ne pas être Arielle Dombasle,
ça me coûterait moins cher que d'être moi (et, en plus, je pourrais trouver le sommeil).
Les seins sont effectivement présents mais (je précise pour les spécialistes)
ne parviennent à retenir qu'une demie paupière éveillée (les fesses sont mieux).
Oui, c'est vrai, on nous laisse tout juste le temps de voir une queue joviale chaleureusement empoignée.
L'apex du métrage, je pense. (Pour les fainéants voyeurs, c'est dans le premier quart d'heure.)
Je veux revoir ce truc ! (Mais gratos, la prochaine fois, je vais donc tâcher de me le... procurer, comme disent les traducteurs.
Ah ! J'oubliais...
Avant de prendre les billets, on se demandait, avec Erwann,
ce que voulait dire VO pour les autres séances de ce flim que nous avons vu en VF.
Finalement, on ne saura jamais. C'était à la fois français et anglais avec sous-titres. Il y a peut-être un filon philosophique, ici.
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
Donc, pour résumer, le mythe platonicien n'est pas platonique.
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
A tout seigneur tout honneur l'avis de Nanarland sur le film.http://www.nanarland.com/Chroniques/chronique-aliencrystalpalace-alien-crystal-palace.html
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
lonesome a écrit :A tout seigneur tout honneur l'avis de Nanarland sur le film.http://www.nanarland.com/Chroniques/chronique-aliencrystalpalace-alien-crystal-palace.html
Qui était déjà dans le tout premier post du fil...
Re: Alien Crystal Palace, Arielle Dombasle (2019)
Ah oui m.... au temps pour moi.
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