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Ad Astra, James Gray (2019)
Re: Ad Astra, James Gray (2019)
J'avais beaucoup aimé The Lost City of Z. Là on dirait presque une version SF... Curieux de voir ce que ça donne.
- Razheem L'insensé
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Re: Ad Astra, James Gray (2019)
Beaucoup de points communs en effet avec The Lost City of Z pour ce film passionnant et poignant qui s'intéresse avant tout à l'homme face à l'immensité qu'aux explosions et à la crédibilité scientifique pure et dure.
- Joachim-28
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Re: Ad Astra, James Gray (2019)
Sur Actu SF, ma chronique sur le film :
https://www.actusf.com/detail-d-un-arti ... m_ad_astra
Sur facebook, beaucoup ne sont pas emballés par le film, arguant qu'il manque de rigueur scientifique, et que sur le plan psychologique "la sauce ne prend pas" - le drame entre un père et son fils - et qu'on ne ressent rien.
Dans ma chronique, j'ai bien noté que certains aspects techniques du film (monter à bord d'une navette spatiale clandestinement alors que le compte à rebours est enclenché) pouvaient faire tiquer, mais globalement ça n'empêche pas la magie du film d'émouvoir le spectateur, et je ne regrette pas ma place de cinéma.
https://www.actusf.com/detail-d-un-arti ... m_ad_astra
Sur facebook, beaucoup ne sont pas emballés par le film, arguant qu'il manque de rigueur scientifique, et que sur le plan psychologique "la sauce ne prend pas" - le drame entre un père et son fils - et qu'on ne ressent rien.
Dans ma chronique, j'ai bien noté que certains aspects techniques du film (monter à bord d'une navette spatiale clandestinement alors que le compte à rebours est enclenché) pouvaient faire tiquer, mais globalement ça n'empêche pas la magie du film d'émouvoir le spectateur, et je ne regrette pas ma place de cinéma.
Re: Ad Astra, James Gray (2019)
Joachim-28 a écrit :(monter à bord d'une navette spatiale clandestinement alors que le compte à rebours est enclenché)
The Moon landing was an inside job. All the evidence is inside.
Re: Ad Astra, James Gray (2019)
Razheem L'insensé a écrit :Beaucoup de points communs en effet avec The Lost City of Z pour ce film passionnant et poignant qui s'intéresse avant tout à l'homme face à l'immensité qu'aux explosions et à la crédibilité scientifique pure et dure.
C'est plus que de la SF, tu veux dire?
Blague à part, il me semble que ce film est aussi clivant dans Notre Club que le roman Station Eleven en son temps, et pour les mêmes raisons.
JD
"Impliqué en permanence", qu'il dit.
Re: Ad Astra, James Gray (2019)
Vu hier soir, et je m'attendais à mieux. Bon, le film est visuellement très réussi : la patine se veut réaliste et, sous cet aspect-là, ça marche, on a plein les mirettes. Ça m'a ravi. Dommage que la crédibilité scientifique soit variable : pas de sons dans l'espace, très bien, mais on a l'impression que le voyage de Brad Pitt se déroule dans un Système solaire miniature à sept planètes (les temps de trajets entre les planètes se comptent en jours, et après Mars, Jupiter et Saturne on passe à Neptune en sautant Uranus, même pas mentionnée — on va supposer que la planète se trouvait de l'autre côté du Soleil à ce moment-là, pas qu'elle n'a été zappée par pruderie). Les photos du père de McBride : des clichés des satellites galiléens (c'était pas la peine d'aller du côté de Neptune pour ça). Et le retour de McBride, façon McGyver dans l'espace, m'a fait sourire de consternation.
Je suis pas moins mitigé sur l'intrigue : certaines péripéties m'ont paru accessoires (les pirates lunaires, l'appel de détresse dans l'espace), et surtout, les daddy issues du personnage de Brad Pitt m'ont laissé plus froid que la température de surface de Neptune.
Bref. Pour le coup, j'ai préféré largement The Lost City of Z.
Je suis pas moins mitigé sur l'intrigue : certaines péripéties m'ont paru accessoires (les pirates lunaires, l'appel de détresse dans l'espace), et surtout, les daddy issues du personnage de Brad Pitt m'ont laissé plus froid que la température de surface de Neptune.
Bref. Pour le coup, j'ai préféré largement The Lost City of Z.
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