Les 192 pages de Bifrost n'étant pas aussi extensible qu'on l'aimerait, c'est une nouvelle fois que l'on retrouve une partie du cahier critique du numéro 101 dans les espaces infinis du Retz web. Au programme, une huitaine de livres, pour une bonne part situés aux marges des genres qui nous intéressent…
C'est par ici !
Pour quelques runes de plus
Re: Pour quelques runes de plus
En complément au cahier critique du Bifrost 102, nous vous proposons de découvrir ici quelques critiques de plus n'ayant pas trouvé place dans les 192 pages bien serrées de la revue. Au sommaire, une demi-douzaine de livres : une intégrale heinleinienne, le pénultième volet d'un cycle de fantasy et plusieurs livres louvoyant aux marges des genres…
Hop !
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Re: Pour quelques runes de plus
Super ! Merci !
Juste une petite et aimable remarque adressée à Jean-Pierre Lion au sujet de L'Athée du Grenier (Samuel R. Delany) : Le philosophe Leibniz ne prend pas de t avant le z (même si son nom se prononce ainsi, ce n'est donc pas une faute phonétique).
En revanche, l'orthographe est correcte pour la ville de la province de Styrie : Leibnitz. Facile à corriger.
Son article est bien rédigé et a piqué ma curiosité, même s'il s'agit d'un pur exercice stylistique, une "littérature mimétique" selon son expression.
L'intérêt d'une rencontre imaginaire entre Leibniz et Spinoza se conçoit en raison de leur philosophie respective divergente (d'où le titre "L'athée du grenier" : la philosophie de Spinoza étant considérée comme un "monisme matérialiste", c'est-à-dire sans aucune transcendance). Ce serait comme vouloir faire dialoguer Platon et Aristote. À condition bien sûr de parler d'autre chose que de sous-vêtements sauf s'il s'agit d'une satire, plus encore qu'un simple pastiche. :-))
Les Monty Python avaient fait pareil avec les philosophes... leur faisant parler de torchons et serviettes avec le plus grand sérieux.
Il existe une tradition dans cette veine si l'on pense par exemple à La vie sexuelle d'Emmanuel Kant du grand philosophe Jean-Baptiste Botul qui avait trompé BHL n'ayant pas saisi qu'il s'agissait d'une parodie, en plus d'un pastiche...
Si la SF est une récréation pour certains scientifiques, la satire peut en être une pour certains auteurs dont Samuel Delany.
Juste une petite et aimable remarque adressée à Jean-Pierre Lion au sujet de L'Athée du Grenier (Samuel R. Delany) : Le philosophe Leibniz ne prend pas de t avant le z (même si son nom se prononce ainsi, ce n'est donc pas une faute phonétique).
En revanche, l'orthographe est correcte pour la ville de la province de Styrie : Leibnitz. Facile à corriger.
Son article est bien rédigé et a piqué ma curiosité, même s'il s'agit d'un pur exercice stylistique, une "littérature mimétique" selon son expression.
L'intérêt d'une rencontre imaginaire entre Leibniz et Spinoza se conçoit en raison de leur philosophie respective divergente (d'où le titre "L'athée du grenier" : la philosophie de Spinoza étant considérée comme un "monisme matérialiste", c'est-à-dire sans aucune transcendance). Ce serait comme vouloir faire dialoguer Platon et Aristote. À condition bien sûr de parler d'autre chose que de sous-vêtements sauf s'il s'agit d'une satire, plus encore qu'un simple pastiche. :-))
Les Monty Python avaient fait pareil avec les philosophes... leur faisant parler de torchons et serviettes avec le plus grand sérieux.
Il existe une tradition dans cette veine si l'on pense par exemple à La vie sexuelle d'Emmanuel Kant du grand philosophe Jean-Baptiste Botul qui avait trompé BHL n'ayant pas saisi qu'il s'agissait d'une parodie, en plus d'un pastiche...
Si la SF est une récréation pour certains scientifiques, la satire peut en être une pour certains auteurs dont Samuel Delany.
"Dans le chaos, le collectif peut dépendre d'une particule" (Poul Anderson)
Re: Pour quelques runes de plus
Davantage de livres, davantage de collaborateurs et collaboratrices… mais pas plus de place. Comme de coutume, le cahier critique de Bifrost s'accompagne de son (ample) versant numérique. S'ajoutent donc ici une quinzaine de chroniques supplémentaires, allant de titres confidentiels (La Chute de la Ville Principale d'Efim Zozoulia) à d'autres plus attendus (Numérique de Serguei et Marina Diatchenko)…
C'est par ici !
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Re: Pour quelques runes de plus
Afin de compléter l'ample cahier critique du Bifrost 105, en librairie le 27 janvier, nous vous proposons une nouvelle fois un complément en ligne : au programme, des futurs proches plus ou moins grinçants, sans oublier des rêveries et du fantastique diffus…
C'est par ici.
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Re: Pour quelques runes de plus
Manière de bonus aux critiques du Bifrost 106, disponible depuis le 28 avril dans toutes les bonnes librairies de la planète bleue comme de la planète rouge, voici un bref complément numérique portant sur quatre titres n'ayant trouvé place dans la revue papier…
C'est par ici !
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Re: Pour quelques runes de plus
En complément aux critiques du Bifrost 108, disponible depuis le 27 octobre en bonnes librairie, voici une dizaine de papiers supplémentaires, afin d'explorer Sorrowland, Widowland et quelques autres contrées proches de notre monde ou plus éloignées…
Hop !
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Re: Pour quelques runes de plus
Cela faisait longtemps : pour compléter le cahier critique du Bifrost 113, disponible depuis le 25 janvier en librairie, voici quelques papiers supplémentaires n’ayant trouvé place au sein de la version papier.
C'est par ici !
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Re: Pour quelques runes de plus
Vous l'attendiez, le voilà, le beau, le splendide Bifrost 114, disponible depuis le 25 avril en librairie. Nos critiques ont été très (trop ?) prolifiques et leurs articles n'ont su tous trouver leur place au sein des pages de ce numéro. Retrouvez-les ici.
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